Armistice du 11 Novembre quelle histoire se cache derrière cette journée commémorative ? La première guerre mondiale a laissé derrière elle de nombreux soldats morts au champ d’honneur et dont on n’a jamais retrouvé le corps. Dès 1916 commence à s’imposer dans l’opinion public et au sein des anciens combattants, l’idée d’honorer un Soldat inconnu, représentant tous les soldats morts pour la patrie et dont le corps n’a jamais été retrouvé. En effet, pour tous ses soldats, il est impossible aux familles d’aller se recueillir sur leur tombe et de faire leur deuil. Aussi, le 8 novembre 1920, année qui marque le cinquantenaire de la Troisième République, les députés adoptent les deux articles suivants Article 1er Les honneurs du Panthéon seront rendus aux restes d’un soldat non identifiés mort au Champ d’Honneur au cours de la guerre 1914-1918. La translation des restes de ce soldat sera faite solennellement le 11 novembre 1920. Article 2 Le même jour, les restes du Soldat inconnu seront inhumés sous l’Arc de triomphe. Et en 1922, le Parlement, sous l’impulsion des anciens combattants, déclare le 11 novembre fête nationale. Les décorations et médailles militaires de la guerre 14-18 En cliquant sur l’image, vous serez directement redirigée vers la fiche de la médaille sur notre site de vente en ligne. Croix de Guerre 1914-1918 Croix du Combattant Volontaire 1914-1918 Médaille Commémorative Inter-alliée dite Médaille de la Victoire 14-18 Médaille militaire des blessés de guerre Autre médaille militaire de la première guerre mondiale Médaille commémorative de la bataille de Verdun Lien vers la page Wikipédia Médaille des Engagés Volontaires Retrouvez aussi dans notre boutique située dans les Jardins du palais Royal, notre insigne Pin’s Bleuet édité spécialement pour le centenaire de la première guerre mondiale 1918-2018. Insigne bleuet
Calaispendant la guerre 14 18. En Angleterre, comme en France, les femmes prirent une part active dans l'activité économique de leur pays et se sont investies dans le conflit, ici un groupe de conductrices d'ambulances, les FANY, à
Un visage sur un nom… le temps fait son oeuvre. Hervé Chatalic 1891-1914 – 107 ans après sa disparition, un visage peut à nouveau être mis sur son nom deux photos retrouvées dans les archives de sa famille. Hervé, né le 9 janvier... Une photo de Sébastien Guidal Voilà que vient de nous parvenir la photo de Sébastien Guidal, l’un des 89 Poilus de Quéménéven qui ont laissé leur vie pendant la 1ère guerre mondiale. La seule photo qu’ait conservée la famille... Louis Bernard 1892-1917, des documents inédits ! De nouveaux documents et photos concernant le soldat Louis Bernard nous ont été communiqués cet hiver, par sa petite-nièce, qui permettent de mettre un visage sur ce jeune homme disparu à 25 ans dans... Un courrier refait surface, cent ans après Découverte à l’occasion de travaux dans les combles d’une maison d’un ancien poilu, cette carte de correspondance porte quelques mots griffonnés par Jacques Autret à son épouse Philomène, le 27 janvier 1916. Jacques fait alors partie de la 20e compagnie... Jean-Louis et Joseph ont enfin un visage ! Les recherches autour des Poilus de Quéménéven morts pour la France avaient permis de retrouver une photo de Joseph L’Helgoualc’h, mort en septembre 1918 sur le front bulgare. Du moins, c’est ce qu’on croyait. Les... François Trellu, jeune officier au 5e RI François Trellu naît le 1er mars 1897 à Kergadoret. Il est le 4ème enfant et le plus jeune fils de Yves, charpentier et de Marie-Anne Rolland. Comme son frère aîné Yves, François devient à... René Hénaff, 6 années au 48e RI de Guingamp René Le Hénaff naît le 19 novembre 1893 à Kerousaillet, Kergoat. Il est le quatrième des 7 enfants de Hervé et de Marie Louboutin. Lors du recensement de 1911, il a 18 ans et est... Deux frères confrontés aux impitoyables conseils de révision Les parcours des deux frères Chevalier, Jean-Marie l’aîné de la fratrie, et Mathurin le plus jeune, illustrent la nécessité dans laquelle s’est trouvée l’armée française de trouver les effectifs nécessaires pour faire face aux... Yves Le Noach, prisonnier pendant toute la durée de la guerre L’accès aux fiches matricules permet d’éclairer le parcours des soldats pour lesquels nous avions peu d’information, notamment ceux qui sont morts après l’armistice. Ainsi nous découvrons que Yves Le Noach a été prisonnier en... Jean Gourlay 1882-1916 – Vauquois Jean Gourlay naît à Brunguennec, Quéménéven le 03 mars 1882. Il est le fils aîné de Jean, cultivateur et de Marie Jeanne Le Bihan. Brun, aux yeux gris, Jean est très grand pour l’époque... Oui la guerre de 14-18, avec bien sur la première guerre mondiale, mais la première formulation est plus courte à l'écrit ! Sous les pieds du soldats il y a marqué "Aux Rochelais morts pour la France en défendant le droit et la liberté du monde." Le tout nouveau centre d'histoire Guerre et Paix de Souchez, dans le Pas-de-Calais, consacre une large place à la photographie. De nombreux clichés inédits témoignent notamment de l'extrême violence de la mort des combattants sur le front. Un bâtiment posé comme une grande boîte noire au pied de la colline de Notre-Dame de Lorette. Des couloirs sombres et des salles sans fioritures. Le centre Lens’ 14-18 de Souchez, dans le Pas-de-Calais, se voulait austère dans sa conception. En entrant dans ce nouveau musée consacré à la Grande Guerre, le visiteur est tout de suite plongé dans la brutalité et le carnage des les murs, ce sont surtout les photographies qui marquent le visiteur. Dans la toute première section du musée, un cliché montre des dizaines de corps alignés, à même le sol. "Ce sont des tirailleurs sénégalais qui venaient d’arriver de Marseille en train. En octobre 1914, on les a mis devant Arras pour tenter d’arrêter l’avancée allemande et plus de 250 d’entre eux ont été fauchés en quelques minutes", raconte l’historien Yves Le Maner, l’un des artisans du musée et membre du comité scientifique de la Mission du Centenaire. Un peu plus loin, d’autres photos sont tout aussi éloquentes ici, des poilus qui posent fièrement devant des cadavres ennemis, semblable à des trophées de chasse. Là, des dépouilles d’Australiens regroupées par les Allemands après l’offensive meurtrière de Fromelles [Nord-Pas-de-Calais] en juillet 1916. À l'inverse des nombreux musées qui puisent surtout dans des documents officiels aseptisés pour constituer leurs collections, le centre de Souchez montre sans filtre l’extrême violence des combats. Un témoignage brut et sans fard, parfois difficilement supportable. "Ce n’est pas une cruauté infligée aux visiteurs, mais une nécessité de prendre conscience de ce qu’a été la guerre sur le sol européen entre 1914 et 1918", précise Yves Le Maner, avant de poursuivre "Il faut se rappeler que c’est une génération entière qui a été fauchée à l’époque. Plus de 1,4 millions de morts en France sur une population de 40 millions. Cela a été un choc terrifiant"."Une telle débauche de violence"À l’époque, la presse, au service de la propagande, n’a que peu relayé ce "choc", elle ne montrait pas les corps sans vie des soldats "pour ne pas traumatiser la population". Et durant des décennies, les photographies prises par les combattants sont restées dans des tiroirs ou au fond des greniers. "Les soldats ne les ont pas montrés. Ils avaient le sentiment d’être au centre d’une telle débauche de violence qu’ils préféraient les garder entre eux, entre anciens combattants. Pour eux, ceux de l’arrière ne pouvaient pas comprendre", explique Yves Le en grande partie dans ces clichés "amateurs" que l’historien a constitué la collection du centre Lens’ 14-18. Il a sélectionné 350 photographies sur plus de 5 000 rassemblés par ses soins "Elles viennent de fonds du Canada, d’Australie, de Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni ou encore de France". "Ce sont des documents qu’on n’a pas l’habitude de voir […], poursuit l’historien. Les combattants ont eu immédiatement conscience d’assister à quelque chose d’inédit et à une violence sauvage. Ils ont vu qu’une civilisation qui était en grand progrès envoyer une génération complète vers la mort de masse". Des photographies présentes dans le musée Lens'14-18 Des hommes soudésMais, si Yves Le Maner a voulu montrer cette guerre dans toute son abjecte réalité, il s’est toutefois imposé certaines limites. Sur les murs du musée, pas de photographies de corps démembrés. "Il en existe à ma connaissance cinq sur des millions […]. J’aurais pu montrer ces cinq-là, mais je ne l’ai pas fait, car dans leur majorité, les combattants eux-mêmes ont choisi de ne pas les photographier. Elles sont insoutenables", explique-t-ilUn cliché émeut tout particulièrement ce fin connaisseur de la Grande Guerre celui de soldats français du 237e régiment d’infanterie qui se recueillent près d’un corps dans un bois près de Bouvigny, à quelques kilomètres du centre Lens’ 14-18 "[Ces hommes] sont soudés. Ils se font fait des promesses et la première d’entre elle, c’est celle d’enterrer un camarade s’il meurt. C’est un document magnifique". Des photographies sur "les morts" dans le fond Valois de la BDIC sur le Pas-de-Calais Journalcomplet SOLDAT GUERRE 14-18, et AUTRES RECHERCHES.. Envoyé le: jeudi 20 janvier 2011 09:50 Regimental HistoriesGuestbooks of the Dead during the First World WarDirectory of 177,000 fighters mentioned in thirty Guestbooks and seventy-five Regimental Histories. The Army records all the actions of the regiments, day by day, in registers called regimental histories. During the First World War, all the military actions, namely the movements, the exploits of the soldiers, are scrupulously the end of the conflict, these registers were transmitted to the Ministry of War. This information, collected in Guestbooks, was published by the Army, by cities and departments or by institutions such as Grandes Ecoles. These are lists of well-deserved soldiers of the Nation, because of their brave or heroic behavior..The initial project of establishing a national guestbook listing all the dead of the First World War unfortunately did not happen. Sources Regimental HistoriesGuestbooks of the Dead during the First World WarDirectory of 177,000 fighters mentioned in thirty Guestbooks and seventy-five Regimental Histories.11juin 2021 - Découvrez le tableau "14-18 - Côté poilus" de Marie-Elisabeth sur Pinterest. Voir plus d'idées sur le thème la grande guerre, poilus, guerre 1914-1918.
Malgréça, beaucoup se sont portés volontaires pour faire la guerre du Mexique en 1861 et la guerre contre l’Allemagne en 1870. Ça a été le .