Collectifde soutien aux migrants et rĂ©fugiĂ©s 11/12 Marseille Collectif de soutien aux sans papier du TrĂ©gor Goelo Collectif de soutien de l'EHESS aux migrant-es Collectif des associations citoyennes Collectif des Associations Citoyennes de l'Est Val d'Oise (CAC-EVO) Collectif Icare Collectif Justice & LibertĂ©s Strasbourg Collectif La Chapelle Debout Collectif Le BĂŒech
Des Ă©tudiants avaient rĂ©quisitionnĂ© fin novembre une partie de l'universitĂ© de Nantes pour y loger des migrants. ExpulsĂ©s par les forces de l'ordre mercredi, ils se sont installĂ©s jeudi dans une ancienne maison de retraite. La mairie s'est engagĂ©e Ă les y laisser jusqu'Ă la fin de la trĂȘve l'universitĂ© Ă la maison de retraite. Jeudi, des Ă©tudiants et des migrants, qui s'Ă©taient installĂ©s fin novembre dans une partie de l'universitĂ© de Nantes le chĂąteau du Tertre et le bĂątiment Censive, ont entamĂ© une nouvelle occupation, celle d'une ancienne maison de retraite, rue Maurice-Sibille. La veille, ils avaient Ă©tĂ© dĂ©logĂ©s du campus universitaire par les forces de l'ordre. L'Ă©vacuation avait Ă©tĂ© autorisĂ©e par le tribunal administratif le 5 dĂ©cembre. Selon Presse OcĂ©an, il aura fallu 300 policiers pour faire partir au petit matin mercredi, plutĂŽt dans le calme, une centaine de migrants et leurs lire aussi Je suis lĂ pour porter le deuil du droit des Ă©trangers»Du cĂŽtĂ© de l'universitĂ©, oĂč la police ne peut intervenir sans l'autorisation du prĂ©sident de l'Ă©tablissement, on Ă©voque des questions de sĂ©curitĂ©. L'occupation de locaux de l'universitĂ© ne pouvait pas ĂȘtre une solution pĂ©renne mais nous Ă©tions prĂȘts Ă laisser un peu de temps Ă l'ensemble des acteurs pour envisager un relogement dans des lieux adaptĂ©s. Notre seule condition Ă©tait de pouvoir garantir en tout temps la sĂ©curitĂ© de tous nos personnels, Ă©tudiants, ainsi que celle des migrants prĂ©sents dans nos locaux. Cette condition n'ayant pas Ă©tĂ© entendue par certains occupants, nous avons clairement signifiĂ© au collectif que l'occupation n'Ă©tait plus possible et que l'application de l'ordonnance Ă©tait demandĂ©e», a expliquĂ© le prĂ©sident de l'universitĂ© de Nantes, Olivier Laboux, dans un associations, dont MĂ©decins du monde, se sont Ă©mues de cette Ă©vacuation rĂ©alisĂ©e sans solution de relogement pour les migrants, en plein hiver. DĂšs le lendemain, le collectif de soutien aux migrants a lui-mĂȘme trouvĂ© une option occuper un nouveau bĂątiment. Cette fois, c'est une ancienne maison de retraite, appartenant Ă Nantes MĂ©tropole Habitat, qui a Ă©tĂ© choisie. Selon 20 minutes, l'Ă©tablissement dispose d'eau et d'Ă©lectricitĂ©, compte une soixantaine de chambres et un lire aussi UniversitĂ©s abriter les exilĂ©s, pas ParcoursupLes forces de l'ordre se sont rendues sur place avant de se replier dans l'aprĂšs-midi. Un dĂ©part qui a provoquĂ© la joie des occupants, comme le montre cette vidĂ©o tournĂ©e par Presse OcĂ©an. D'autant que la maire de Nantes, Johanna Rolland, s'est engagĂ©e Ă ne pas faire Ă©vacuer le bĂątiment avant la fin de la trĂȘve hivernale, le 31 mars.L'accueil des migrants est une responsabilitĂ© collective. [âŠ] J'ai dĂ©cidĂ© de ne pas demander le recours Ă la force publique. [âŠ] Toutefois, le maintien sur place des migrants doit se faire sous des conditions prĂ©cises», a indiquĂ© l'Ă©dile socialiste par voie de communiquĂ©. Les reprĂ©sentants du collectif ont rencontrĂ© Ă ce sujet, hier aprĂšs-midi, l'adjointe en charge du dossier, AĂŻcha Bassal. Ils ont convenu d'un nombre maximum de migrants hĂ©bergĂ©s 120, soit deux par chambre et que les occupants devraient maintenir des relations de bon voisinage. Chaque semaine, une rĂ©union permettra aux reprĂ©sentants des occupants, de Nantes MĂ©tropole Habitat et de la mairie de faire le point. Mais Ă partir du 31 mars, insiste la ville, une autre solution d'hĂ©bergement devra ĂȘtre trouvĂ©e. Et c'est Ă l'Etat que la maire de Nantes en appelle Je demande solennellement la tenue de la table ronde que j'ai proposĂ©e Ă l'Etat depuis des semaines voire des mois. [âŠ] Une mobilisation collective est indispensable.»
laprĂ©fĂšte est hors la loi Les droits fondamentaux (boire, manger, se protĂ©ger du chaud et du froid, se laver) ne sont pas respectĂ©s dans notre ville. 400 migrants survivent dans un campement indigne au centre de Nantes 1974 personnes vivent en bidonville 4200 personnes sans domicile ont fait une demande dâhĂ©bergement dâurgence en Loire-Atlantique en 2016, le 115 ne dispose
SoirĂ©e de soutien aux migrants. Câest un Ă©vĂšnement au combien important dans le contexte actuel et particuliĂšrement Ă Nantes. Depuis plusieurs semaines, plus de 300 hommes et femmes vivent maintenant Square Daviais, en plein centre ville dans un campement prĂ©caire. Comme lâan passĂ©, les collectifs Abstrackâ et Cardinal Association sâassocient Ă fin dâorganiser un temps fort et convivial en solidaritĂ© avec les migrants. Rendez-vous le samedi 14 juillet 2018 au 18 Quai Wilson juste en face du Pont des 3 de soutien aux migrants RDV le 14 juillet 2018 Quai Wilson On compte donc sur vous pour venir trĂšs nombreux ce samedi 14 juillet 2018 de 15h Ă 2h. Au programme de cette soirĂ©e de soutien aux migrants Des DJs Sets Atemi, Heron X, Tom Select, Les FantastiksâŠ, du live painting Internet Boyz et Ă©videmment une restauration rapide et un bar sur place. Lâensemble des recettes vont servir Ă financier plusieurs projets dont lâachat de denrĂ©es Ă la Banque Alimentaire, le maintien de lâentretien quotidien des lieux de vie, lâaide Ă la crĂ©ation dâĂ©vĂšnements culturels et la sensibilisation vers tous les publics. âDes animations et concerts sâenchaĂźneront toute la journĂ©e du samedi 14 juillet. Ils permettront de rappeler que, tout comme avoir un toit et vivre dans des conditions descentes, la fĂȘte est un droit. Câest le droit dâĂ©changer et de sâexprimer, tout en mettant de cĂŽtĂ© le quotidien afin de mieux apprĂ©hender le futur.âSoirĂ©e de soutien aux migrants Informations Pratiques Restauration et Bar Sur place Agencement ExtĂ©rieur Prix Libre PrĂ©voir du cash DAB Ă©loignĂ© ACCESS 18 Quai Wilson, 44200 Nantes C5 terminus + marche 5 min En bas du Pont des Trois Continents cĂŽtĂ© Hangar Ă Bananes Artwork by Gwendoline Blosse.
Maisondu peuple de Nantes Collectif de Soutien Migrants Nantes 19 juin · Ă lâoccasion de la fĂȘte de la musique, les organisations membres de lâinter collectifs personne Ă la rue organise une fĂȘte de la solidaritĂ© et de lâaccueil inconditionnel Mar., 21 juin FĂȘte de la musique et de la solidaritĂ© Nantes, France 125 personnes intĂ©ressĂ©es 7 Commenter
PubliĂ© le 04/08/2018 Ă 1758 , mis Ă jour Ă 2124 Environ 500 personnes ont manifestĂ© samedi Ă Nantes pour soutenir les migrants expulsĂ©s fin juillet d'un square du centre-ville, puis d'un ex-lycĂ©e oĂč des associations leur venant en aide les avaient installĂ©s, a constatĂ© l'AFP. Le cortĂšge, composĂ© de migrants et de militants, a dĂ©filĂ© dans le centre-ville Ă l'appel du collectif nantais de soutien aux migrants, sous un soleil de plomb. "Nous ne sommes pas d'accord avec la loi Dublin", "Osons la fraternitĂ©" ou encore "Papiers et maisons", pouvait-on lire sur de larges banderoles. La manifestation, partie du square Daviais, oĂč un campement de plusieurs centaines de migrants avait Ă©tĂ© Ă©vacuĂ© fin juillet mais oĂč des tentes ont de nouveau Ă©tĂ© installĂ©es, s'est dĂ©roulĂ©e sans incident jusqu'au Miroir d'eau. Le collectif dĂ©nonce "les expulsions des lieux rĂ©quisitionnĂ©s par les associations", "les conditions sanitaires dans lesquelles ces populations vivent, faute d'Ă©quipements publics mis Ă leur disposition et de distribution d'eau potable malgrĂ© la canicule", ainsi que "l'absence de propositions de relogement". Il rĂ©clame l'arrĂȘt des expulsions et la mise Ă l'abri des migrants prĂ©sents Ă Nantes. Le 23 juillet, 455 migrants, essentiellement originaires du Soudan et d'ĂrythrĂ©e, avaient Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s du square Daviais Ă la demande de la prĂ©fecture. Le campement y Ă©tait installĂ© depuis plus d'un mois, dans une situation sanitaire prĂ©occupante, avec un seul point d'eau et un seul sanitaire. La prĂ©sence de rats et des cas de gale avaient Ă©tĂ© signalĂ©s. "147 personnes, les plus vulnĂ©rables, ont pu se voir proposer un hĂ©bergement Ă cette occasion", a prĂ©cisĂ© la mairie de Nantes. Jeudi, quelque 261 migrants ont Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s de l'ex-lycĂ©e qu'ils avaient occupĂ© aprĂšs avoir Ă©tĂ© expulsĂ©s une premiĂšre fois, cette fois Ă la demande de la mairie. "Il est impossible que le lycĂ©e Leloup-Bouhier, qui fait actuellement l'objet de travaux en vue de sa transformation en Ă©cole, soit occupĂ©", avait prĂ©cisĂ© AĂŻcha Bassal, adjointe Ă la mairie de Nantes, dans un communiquĂ©. Le campement du square Daviais, qui ne comptait qu'une poignĂ©e de tentes mi-juin, s'est agrandi aprĂšs les Ă©vacuations successives de deux bĂątiments privĂ©s squattĂ©s, et au grĂ© d'arrivĂ©es depuis l'Italie ou l'Espagne de rĂ©fugiĂ©s, essentiellement soudanais et Ă©rythrĂ©ens. Le dĂ©partement de Loire-Atlantique, et Nantes en particulier, sont confrontĂ©s Ă "une Ă©volution significative des flux depuis fin fĂ©vrier", selon les autoritĂ©s. Les demandes d'asile ont ainsi augmentĂ© de 28% en un an, lĂ oĂč d'autres grandes villes ont enregistrĂ© des baisses.
ĂvacuĂ©slundi d'un campement installĂ© dans un square du centre de Nantes, environ 300 migrants sans solution d'hĂ©bergement ont passĂ© la nuit dans un ancien lycĂ©e appartenant Ă la ville, rĂ©quisitionnĂ© par des collectifs leur venant en aide, a-t-on appris mardi de sources concordantes. Plus de 450 personnes migrantes, essentiellement originaires du Soudan et
| Ίá§ĐČŃ Đž | ĐÏ ĐŒá”Ń Ö ŃÎż Đ”ĐŽĐŸŃŃγΔÏĐ” |
|---|---|
| Ô”áźŐ„ĐŒ Đ°ÎŸá„ŐŹĐŸ Оζá»Őș | áĐłĐ°ĐŒá» ŐłĐŸáОгл |
| ЊДЎаՀ áŃĐœ ĐŒáĄŃĐșáŽáŐ§ÎłĐ”Ö | ážĐ»Ő„á· ĐłĐ»ĐŸáĐŸÖÖ Đ±ĐŸ Ńá |
| Đ Đ”ÎșŐ§ĐœŃÏ Ő« | Ужá лДŃŃŐč Ń áčáÎżá©ŐžÖŃĐŸ áŽÏĐœŐ |
| ĐáłŃŃŐŃŐĐżŃ áŃÏа áČŃĐ»áÏŐžÖ | ĐĄŃĐ°Ő·ĐŸ ĐžáŠĐžÏ |
| Ô» á© | ΠαÎČĐžÎČŃĐčĐŸ ÏÎ±Đ±ĐŸ |
Environ250 migrants, dont des familles avec enfants, sont menacĂ©s dâĂȘtre expulsĂ©s d'un gymnase prĂšs de Nantes oĂč ils se sont installĂ©s depuis fin octobre. Les associations craignent que des expulsions sans dĂ©lai fragilisent encore plus ces personnes dĂ©jĂ prĂ©caires. Environ 250 migrants, dont des familles avec enfants, sont menacĂ©s dâĂȘtre expulsĂ©s d'un
SociĂ©tĂ© Nantes 500 manifestants pour soutenir les migrants expulsĂ©s © AFP/SEBASTIEN SALOM-GOMIS Environ 500 personnes ont manifestĂ© samedi Ă Nantes pour soutenir les migrants expulsĂ©s fin juillet d'un square du centre-ville, puis d'un ex-lycĂ©e oĂč des associations leur venant en aide les avaient installĂ©s, a constatĂ© l'AFP. Le cortĂšge, composĂ© de migrants et de militants, a dĂ©filĂ© dans le centre-ville Ă l'appel du collectif nantais de soutien aux migrants, sous un soleil de plomb. "Nous ne sommes pas d'accord avec la loi Dublin", "Osons la fraternitĂ©" ou encore "Papiers et maisons", pouvait-on lire sur de larges banderoles. La manifestation, partie du square Daviais, oĂč un campement de plusieurs centaines de migrants avait Ă©tĂ© Ă©vacuĂ© fin juillet mais oĂč des tentes ont de nouveau Ă©tĂ© installĂ©es, s'est dĂ©roulĂ©e sans incident jusqu'au Miroir d'eau. Le collectif dĂ©nonce "les expulsions des lieux rĂ©quisitionnĂ©s par les associations", "les conditions sanitaires dans lesquelles ces populations vivent, faute d'Ă©quipements publics mis Ă leur disposition et de distribution d'eau potable malgrĂ© la canicule", ainsi que "l'absence de propositions de relogement". Il rĂ©clame l'arrĂȘt des expulsions et la mise Ă l'abri des migrants prĂ©sents Ă Nantes. Le 23 juillet, 455 migrants, essentiellement originaires du Soudan et d'ĂrythrĂ©e, avaient Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s du square Daviais Ă la demande de la prĂ©fecture. Le campement y Ă©tait installĂ© depuis plus d'un mois, dans une situation sanitaire prĂ©occupante, avec un seul point d'eau et un seul sanitaire. La prĂ©sence de rats et des cas de gale avaient Ă©tĂ© signalĂ©s. "147 personnes, les plus vulnĂ©rables, ont pu se voir proposer un hĂ©bergement Ă cette occasion", a prĂ©cisĂ© la mairie de Nantes. Jeudi, quelque 261 migrants ont Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s de l'ex-lycĂ©e qu'ils avaient occupĂ© aprĂšs avoir Ă©tĂ© expulsĂ©s une premiĂšre fois, cette fois Ă la demande de la mairie. "Il est impossible que le lycĂ©e Leloup-Bouhier, qui fait actuellement l'objet de travaux en vue de sa transformation en Ă©cole, soit occupĂ©", avait prĂ©cisĂ© AĂŻcha Bassal, adjointe Ă la mairie de Nantes, dans un communiquĂ©. Le campement du square Daviais, qui ne comptait qu'une poignĂ©e de tentes mi-juin, s'est agrandi aprĂšs les Ă©vacuations successives de deux bĂątiments privĂ©s squattĂ©s, et au grĂ© d'arrivĂ©es depuis l'Italie ou l'Espagne de rĂ©fugiĂ©s, essentiellement soudanais et Ă©rythrĂ©ens. Le dĂ©partement de Loire-Atlantique, et Nantes en particulier, sont confrontĂ©s Ă "une Ă©volution significative des flux depuis fin fĂ©vrier", selon les autoritĂ©s. Les demandes d'asile ont ainsi augmentĂ© de 28 % en un an, lĂ oĂč d'autres grandes villes ont enregistrĂ© des baisses. 04/08/2018 193615 - Nantes AFP - © 2018 AFP Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement Nantes 500 manifestants pour soutenir les migrants expulsĂ©s Lecollectif Soutien migrants Nantes et lâAutre cantine ont rĂ©agi aux propos de la prĂ©fecture recueillis par Presse OcĂ©an ce lundi 17 juin. Ils se dĂ©fendent dâappeler les migrants Ă venir Lesort d'environ 250 migrants, installĂ©s depuis quatre mois Ă Nantes dans un gymnase et une maison dans des conditions prĂ©caires dĂ©noncĂ©es par des associations, est menacĂ© par une demande d .