🐙 Collectif De Soutien Aux Migrants Nantes

MIGRANTS- Un squat de migrants a Ă©tĂ© visĂ© par des jets de cocktails molotov dans la nuit de samedi, Ă  Nantes, provoquant un dĂ©part de feu qui n'a pas fait de blessĂ©. Un collectif de soutien dĂ©nonce un acte "criminel et xĂ©nophobe". · Sujets de sociĂ©tĂ© : Un squat de migrants visĂ© par des cocktails molotov Ă  Nantes. PubliĂ© le 07 mars 2019 Ă  17h33 Le sort d’environ 250 migrants, installĂ©s depuis quatre mois Ă  Nantes dans un gymnase et une maison dans des conditions prĂ©caires dĂ©noncĂ©es par des associations, est menacĂ© par une demande d’expulsion. La justice rendra deux dĂ©cisions successives les 14 et 28 mars. Il y a toujours des enfants, des femmes et Ă©videmment beaucoup d’hommes dans ce gymnase les mettre Ă  la rue de façon sĂšche serait une vraie catastrophe humanitaire », a dĂ©clarĂ© François Prochasson, membre du collectif de soutien aux migrants, en marge d’une audience qui se tenait jeudi matin au tribunal de grande instance de assignations en rĂ©fĂ©rĂ© d’expulsionFin octobre, une soixantaine de demandeurs d’asile avaient Ă©tĂ© dĂ©logĂ©s d’un square de Nantes, et avaient trouvĂ© refuge dans le gymnase d’un lycĂ©e catholique inoccupĂ©, propriĂ©tĂ© du diocĂšse, dans la commune voisine de Saint-Herblain. Les effectifs avaient gonflĂ© et quelques familles Ă©taient Ă©galement logĂ©es dans une maison, portant Ă  environ 250 le nombre de migrants pris en charge par les a fait suite Ă  deux assignations en rĂ©fĂ©rĂ© d’expulsion, dĂ©posĂ©es par le diocĂšse et le promoteur immobilier propriĂ©taire de la bĂątisse. On demande que la ville de Nantes rĂ©quisitionne des bĂątiments vides pour mettre les personnes Ă  l’abri » indĂ©pendamment de leur situation administrative, a dĂ©clarĂ© Christophe Jouin, prĂ©sident de L’autre cantine », collectif Ă©galement engagĂ© dans ce dossier, qui dĂ©nonce le ping-pong entre les institutions ».Les bĂ©nĂ©voles craignent que les dĂ©cisions de la justice, qui seront rendues le 14 mars pour la maison et le 28 mars pour le gymnase, conduisent Ă  des expulsions sans dĂ©lai, fragilisant la prise en charge de ces personnes et leurs chances de relogement.
Cest l’un des pires squats de l’agglomĂ©ration nantaise », dĂ©plore Karine, du collectif Soutien aux migrants Nantes. « Je sens que la situation est explosive » Alia, GuinĂ©en de 22 ans
la prĂ©fĂšte est hors la loi Les droits fondamentaux boire, manger, se protĂ©ger du chaud et du froid, se laver
 ne sont pas respectĂ©s dans notre ville. 400 migrants survivent dans un campement indigne au centre de Nantes 1974 personnes vivent en bidonville 4200 personnes sans domicile ont fait une demande d’hĂ©bergement d’urgence en Loire-Atlantique en 2016, le 115 ne dispose que de 25 places par jour !les rĂ©ponses de la mairie MalgrĂ© les dĂ©clarations de Johanna Rolland quand on dit libertĂ©, Ă©galitĂ©, fraternitĂ©, c’est bien ; quand on le traduit dans les actes c’est mieux », les rĂ©ponses de la mairie ne sont pas Ă  la hauteur des besoins que rĂ©clame depuis des annĂ©es la crise humanitaire qui se dĂ©roule aujourd’hui sous nos yeux. un Ă©lan de solidaritĂ© Un Ă©lan de solidaritĂ© Ă  l’égard de ces populations en dĂ©tresse s’est construit Ă  Nantes. Il regroupe des associations, des syndicats et de nombreux citoyens et citoyennes qui refusent d’accepter cette situation particuliĂšrement inhumaine, entretenue par les pouvoirs publics. l’humanitĂ© de demain se construit avec l’accueil d’aujourd’hui toutes et tous Ă  la manifestation le 22 septembre Ă  15H, Square Daviais, pour dĂ©noncer l’insupportable et exiger de vĂ©ritables solutions, dignes et pĂ©rennes A l’appel des associations et organisations Afrique Loire, ASSAMLA, L’autre cantine, CIMADE, CSF, CSPN, Collectif de soutien aux migrants 44, DAL, EmmaĂŒs, Intersyndicale CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA, LDH, Logis Saint-Jean, MĂ©decins du Monde, RESF, UJM44
 liste en cours Lesjeunes migrants isolĂ©s, sĂ©parĂ©s de tout soutien familial, constituent une population particuliĂšrement exposĂ©e Ă  la prĂ©caritĂ©. Le collectif PhilomĂ©los se propose, grĂące aux soirĂ©es du mĂȘme nom, de rĂ©unir des fonds pour soutenir l'action des associations qui Ɠuvrent Ă  Nantes pour leur fournir appui, hĂ©bergement, scolarisation, soins mĂ©dicaux ou aide juridique.
Le Collectif SolidaritĂ©-Migrants Etorkinekin » est prĂ©sent sur tout le territoire du Pays Basque Nord et Sud Landes Il est fondĂ© autour de 2 axes principaux – l’action citoyenne publique pour informer, sensibiliser, dĂ©noncer les politiques migratoires et leurs consĂ©quences nĂ©fastes– l’accueil, l’accompagnement et le soutien aux PrĂ©sentation Les dĂ©sordres mondiaux actuels poussent des millions de personnes Ă  abandonner leurs pays guerres civiles, interventions militaires, bouleversements climatiques, grande pauvretĂ©, persĂ©cutions politiques, ethniques, religieuses, sexuelles, mafieuses 
 Les Politiques migratoires menĂ©es cherchent Ă  arrĂȘter les avant leur arrivĂ©e en Europe. Elles sont inefficaces et meurtriĂšres les sont Ă  prendre des voies de plus en plus dangereuses, dĂ©multipliant ainsi le nombre de morts. Le Collectif Etorkinekin, nĂ© au cours de l’automne 2015, est constituĂ© Ă  la fois de personnes membres Ă  titre personnel, d’associations, syndicats ou groupes politiques, Ă  ce jour ASPAL-PB-SL, ATTAC Pays Basque, Bizi!, Les Bascos, CDDHPB, CGT Territoriaux Biarritz, la Cimade, la Commune Pays Basque, l’association DIAKITE, EELV Pays Basque, EH Bai, Ensemble! Pays Basque, FraternitĂ© de Foucauld, , LDH Bayonne, le NPA. Et De 12 groupes locaux Ils se sont Ă©galement créés sur l’ensemble du Pays Basque souvent autour de personnes hĂ©bergeant des L’objectif de ces groupes est la prise en charge collective des personnes migrantes hĂ©bergĂ©es, leur accompagnement ainsi que l’accompagnement des personnes qui les hĂ©bergent. Ils mĂšnent Ă©galement des actions d’information, de sensibilisation et/ou d’interpellation, en lien avec les objectifs mentionnĂ©s ci-dessus. Le fonctionnement du Collectif les membres du collectif ont la possibilitĂ© de participer Ă  la plĂ©niĂšre qui se rĂ©unit tous les trois mois et qui, aprĂšs bilan des actions passĂ©es, dĂ©termine celles des mois suivants. Entre les plĂ©niĂšres, une Coordination se rĂ©unit toutes les deux ou trois semaines pour prendre les dĂ©cisions nĂ©cessaires en fonction des axes dĂ©finis par l’AG puis les plĂ©niĂšres. La Coordination est constituĂ©e des des diffĂ©rentes commissions de travail et des des associations, syndicats ou groupes politiques qui le souhaitent. Les commissions de travail – la commission Meilleur accueil des migrants au sein de laquelle se coordonnent les groupes locaux environ toutes les six semaines. – La commission Accueil des mineurs et mineurs », en charge de l’accueil et de l’accompagnement global santĂ©, scolaritĂ©, etc. des mineurs non accompagnĂ©s ainsi que de l’aide aux personnes qui les hĂ©bergent. – La commission Actions citoyennes et sensibilisation grand public en charge du premier axe de travail du Collectif voir plus haut. – La commission sensibilisation des scolaires qui mĂšne des interventions auprĂšs des jeunes dans les Ă©tablissements scolaires pour les informer sur les rĂ©alitĂ©s migratoires et par des temps de partages et d’échanges susciter leur rĂ©flexion et lutter contre les prĂ©jugĂ©s. – La commission extension du rĂ©seau a pour objectif de rĂ©pondre aux besoins trĂšs importants et en expansion du Collectif besoins humains,financiers, d’hĂ©bergements, du fait de l’arrivĂ©e de nombreux-ses au Pays Basque depuis la fin du printemps 2018. L’ Association de gestion s’occupe des finances. Nos besoins – Nous avons besoin de vos dons. Comment donner ? Par chĂšque Ă  l’ordre de SolidaritĂ© Migrants-Etorkinekin, chez Mme Suhubiette, 4 Place de la LibertĂ© 64100 Bayonne – Nous recherchons des logements autonomes , des hĂ©bergements chez l’habitant provisoires week-end, vacances ou pĂ©rennes , des hĂ©bergements collectifs
 – Nous recherchons des aides matĂ©rielles ponctuelles tĂ©lĂ©phones portables, tablettes , ordinateurs, calculatrices , fournitures scolaires
 Chacun d’entre nous peut proposer son aide pour l’hĂ©bergement, le soutien, l’accompagnement administratif et/ou juridique, les collectes de biens matĂ©riels, vĂȘtements ou denrĂ©es alimentaires, cours de Français, emploi/formation/Ă©tude, secours mĂ©dical ou psychologique, co-voiturage, divertissements culturels, mobilisations et actions solidaires Agissez localement ! Rejoignez un groupe local ! Les groupes locaux se sont Ă©galement créés sur l’ensemble du Pays Basque , 12 Ă  ce jour . Ils se rĂ©unissent entre eux toutes les 6 semaines dans une commission Meilleur Accueil Migrants MAM . Vous pouvez les contacter Batzarri Mauleon-Xiberoa
 Bidekoekin solidaritĂ© Hasparren-Ayherre-Bonloc-Briscous-HĂ©lette- Isturits-St Estben-St Martin d’Aberou. Haize Hegoa Itxassou-Kambo-Larresoro-Bidarrai-Ezpeleta Elkartasuna Amikuzen Saint Palais-PĂŽle territorial Amikuze Elkartasuna Larrun Bidart-AhĂ©tze-St Pee sur Nivelle- Sare-Ascain-St Jean de luz Ciboure-Urrugne-Hendaye Etor Bide Garazi-Baigorri-Iholdi-Oztibarre
44 communes Etorkinekin BAB Biarrtiz-Anglet-Bayonne-Bidart-Boucau-Tarnos-Ondres Eskuz Esku Macaye-Mendione Lokaria Lahonce Solidaris Bidache-Hastingues Zubia Ustaritz-Halsu-Jatxu-Villefranque Zuraide Munduari Zabalik Souraide
Depuisl’évacuation des 700 personnes du square Daviais en septembre 2018 et leur rĂ©partition dans diffĂ©rentes structures de la ville de Nantes et d’autres villes de Loire. un autre squat au Gymnase Jeanne Bernard Ă  Saint Herblain s’est constituĂ©.
Error 403 Guru Meditation XID 867080902 Varnish cache server Quelque261 migrants ont Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s par les forces de l'ordre jeudi matin Ă  Nantes d'un ex-lycĂ©e qu'ils occupaient, aprĂšs avoir Ă©tĂ© expulsĂ©s fin juillet d'un square du centre de Nantes, a-t-on appris auprĂšs de la mairie et de la prĂ©fecture.Les migrants Ă©vacuĂ©s se sont ensuite regroupĂ©s au square d'oĂč ils avaient Ă©tĂ© expulsĂ©s le 23 juillet. Ils y Ă©taient encore en milieu d Quel sort leur sera rĂ©servĂ© ? Les migrants du gymnase Jeanne-Bernard devront attendre les deux dĂ©cisions de justice qui seront rendues les 14 et 28 mars prochain. Ils sont environ 250 migrants installĂ©s depuis quatre mois Ă  Saint-Herblain, prĂšs de Nantes, dans le gymnase de l'ancien lycĂ©e Jeanne-Bernard. Ils vivent lĂ  dans des conditions prĂ©caires dĂ©noncĂ©es par des associations et sont menacĂ©s par une demande d'expulsion. "Il y a toujours des enfants, des femmes et Ă©videmment beaucoup d'hommes dans ce gymnase les mettre Ă  la rue de façon sĂšche serait une vraie catastrophe humanitaire", estime François Prochasson, membre du collectif de soutien aux migrants, en marge d'une audience qui se tenait ce jeudi matin. Fin octobre, une soixantaine de demandeurs d'asile avaient Ă©tĂ© dĂ©logĂ©s du square Vertais, dans le sud de Nantes. Ils avaient trouvĂ© refuge dans le gymnase d'un lycĂ©e catholique inoccupĂ©, propriĂ©tĂ© du diocĂšse, dans la commune voisine de Saint-Herblain. À ce sujet, la rĂ©daction vous recommande DĂ©sormais, ils sont entre 200 et 250 migrants installĂ©s dans le gymnase auxquels il faut ajouter quelques familles, au total 19 femmes et enfants, logĂ©es dans une de ce jeudi faisait suite Ă  deux assignations en rĂ©fĂ©rĂ© d'expulsion, dĂ©posĂ©es par le diocĂšse et le promoteur immobilier propriĂ©taire de la bĂątisse. "On demande que la ville de Nantes rĂ©quisitionne des bĂątiments vides pour mettre les personnes Ă  l'abri" indĂ©pendamment de leur situation administrative, a dĂ©clarĂ© Christophe Jouin, prĂ©sident de "L'autre cantine", collectif Ă©galement engagĂ© dans ce dossier, qui dĂ©nonce le "ping-pong entre les institutions". Tout le monde est d'accord pour dire que les conditions d'hĂ©bergement ne sont pas satisfaisantes - StĂ©phane VallĂ©eC'est Ă  l'État de prendre en charge toutes ces personnes-lĂ  et d'assumer ses responsabilitĂ©s en la matiĂšre", a soulignĂ© Me StĂ©phane VallĂ©e, l'avocat des demandeurs d'asile. Le tribunal rendra sa dĂ©cision le 14 mars pour la maison et le 28 mars pour le gymnase. Les bĂ©nĂ©voles craignent qu'elles conduisent Ă  des expulsions sans dĂ©lai, fragilisant la prise en charge des migrants et leurs chances de relogement.
\n \n\n\n collectif de soutien aux migrants nantes
Collectifde soutien aux migrants et rĂ©fugiĂ©s 11/12 Marseille Collectif de soutien aux sans papier du TrĂ©gor Goelo Collectif de soutien de l'EHESS aux migrant-es Collectif des associations citoyennes Collectif des Associations Citoyennes de l'Est Val d'Oise (CAC-EVO) Collectif Icare Collectif Justice & LibertĂ©s Strasbourg Collectif La Chapelle Debout Collectif Le BĂŒech
Des Ă©tudiants avaient rĂ©quisitionnĂ© fin novembre une partie de l'universitĂ© de Nantes pour y loger des migrants. ExpulsĂ©s par les forces de l'ordre mercredi, ils se sont installĂ©s jeudi dans une ancienne maison de retraite. La mairie s'est engagĂ©e Ă  les y laisser jusqu'Ă  la fin de la trĂȘve l'universitĂ© Ă  la maison de retraite. Jeudi, des Ă©tudiants et des migrants, qui s'Ă©taient installĂ©s fin novembre dans une partie de l'universitĂ© de Nantes le chĂąteau du Tertre et le bĂątiment Censive, ont entamĂ© une nouvelle occupation, celle d'une ancienne maison de retraite, rue Maurice-Sibille. La veille, ils avaient Ă©tĂ© dĂ©logĂ©s du campus universitaire par les forces de l'ordre. L'Ă©vacuation avait Ă©tĂ© autorisĂ©e par le tribunal administratif le 5 dĂ©cembre. Selon Presse OcĂ©an, il aura fallu 300 policiers pour faire partir au petit matin mercredi, plutĂŽt dans le calme, une centaine de migrants et leurs lire aussi Je suis lĂ  pour porter le deuil du droit des Ă©trangers»Du cĂŽtĂ© de l'universitĂ©, oĂč la police ne peut intervenir sans l'autorisation du prĂ©sident de l'Ă©tablissement, on Ă©voque des questions de sĂ©curitĂ©. L'occupation de locaux de l'universitĂ© ne pouvait pas ĂȘtre une solution pĂ©renne mais nous Ă©tions prĂȘts Ă  laisser un peu de temps Ă  l'ensemble des acteurs pour envisager un relogement dans des lieux adaptĂ©s. Notre seule condition Ă©tait de pouvoir garantir en tout temps la sĂ©curitĂ© de tous nos personnels, Ă©tudiants, ainsi que celle des migrants prĂ©sents dans nos locaux. Cette condition n'ayant pas Ă©tĂ© entendue par certains occupants, nous avons clairement signifiĂ© au collectif que l'occupation n'Ă©tait plus possible et que l'application de l'ordonnance Ă©tait demandĂ©e», a expliquĂ© le prĂ©sident de l'universitĂ© de Nantes, Olivier Laboux, dans un associations, dont MĂ©decins du monde, se sont Ă©mues de cette Ă©vacuation rĂ©alisĂ©e sans solution de relogement pour les migrants, en plein hiver. DĂšs le lendemain, le collectif de soutien aux migrants a lui-mĂȘme trouvĂ© une option occuper un nouveau bĂątiment. Cette fois, c'est une ancienne maison de retraite, appartenant Ă  Nantes MĂ©tropole Habitat, qui a Ă©tĂ© choisie. Selon 20 minutes, l'Ă©tablissement dispose d'eau et d'Ă©lectricitĂ©, compte une soixantaine de chambres et un lire aussi UniversitĂ©s abriter les exilĂ©s, pas ParcoursupLes forces de l'ordre se sont rendues sur place avant de se replier dans l'aprĂšs-midi. Un dĂ©part qui a provoquĂ© la joie des occupants, comme le montre cette vidĂ©o tournĂ©e par Presse OcĂ©an. D'autant que la maire de Nantes, Johanna Rolland, s'est engagĂ©e Ă  ne pas faire Ă©vacuer le bĂątiment avant la fin de la trĂȘve hivernale, le 31 mars.L'accueil des migrants est une responsabilitĂ© collective. [
] J'ai dĂ©cidĂ© de ne pas demander le recours Ă  la force publique. [
] Toutefois, le maintien sur place des migrants doit se faire sous des conditions prĂ©cises», a indiquĂ© l'Ă©dile socialiste par voie de communiquĂ©. Les reprĂ©sentants du collectif ont rencontrĂ© Ă  ce sujet, hier aprĂšs-midi, l'adjointe en charge du dossier, AĂŻcha Bassal. Ils ont convenu d'un nombre maximum de migrants hĂ©bergĂ©s 120, soit deux par chambre et que les occupants devraient maintenir des relations de bon voisinage. Chaque semaine, une rĂ©union permettra aux reprĂ©sentants des occupants, de Nantes MĂ©tropole Habitat et de la mairie de faire le point. Mais Ă  partir du 31 mars, insiste la ville, une autre solution d'hĂ©bergement devra ĂȘtre trouvĂ©e. Et c'est Ă  l'Etat que la maire de Nantes en appelle Je demande solennellement la tenue de la table ronde que j'ai proposĂ©e Ă  l'Etat depuis des semaines voire des mois. [
] Une mobilisation collective est indispensable.»
laprĂ©fĂšte est hors la loi Les droits fondamentaux (boire, manger, se protĂ©ger du chaud et du froid, se laver) ne sont pas respectĂ©s dans notre ville. 400 migrants survivent dans un campement indigne au centre de Nantes 1974 personnes vivent en bidonville 4200 personnes sans domicile ont fait une demande d’hĂ©bergement d’urgence en Loire-Atlantique en 2016, le 115 ne dispose
SoirĂ©e de soutien aux migrants. C’est un Ă©vĂšnement au combien important dans le contexte actuel et particuliĂšrement Ă  Nantes. Depuis plusieurs semaines, plus de 300 hommes et femmes vivent maintenant Square Daviais, en plein centre ville dans un campement prĂ©caire. Comme l’an passĂ©, les collectifs Abstrack’ et Cardinal Association s’associent Ă  fin d’organiser un temps fort et convivial en solidaritĂ© avec les migrants. Rendez-vous le samedi 14 juillet 2018 au 18 Quai Wilson juste en face du Pont des 3 de soutien aux migrants RDV le 14 juillet 2018 Quai Wilson On compte donc sur vous pour venir trĂšs nombreux ce samedi 14 juillet 2018 de 15h Ă  2h. Au programme de cette soirĂ©e de soutien aux migrants Des DJs Sets Atemi, Heron X, Tom Select, Les Fantastiks
, du live painting Internet Boyz et Ă©videmment une restauration rapide et un bar sur place. L’ensemble des recettes vont servir Ă  financier plusieurs projets dont l’achat de denrĂ©es Ă  la Banque Alimentaire, le maintien de l’entretien quotidien des lieux de vie, l’aide Ă  la crĂ©ation d’évĂšnements culturels et la sensibilisation vers tous les publics. “Des animations et concerts s’enchaĂźneront toute la journĂ©e du samedi 14 juillet. Ils permettront de rappeler que, tout comme avoir un toit et vivre dans des conditions descentes, la fĂȘte est un droit. C’est le droit d’échanger et de s’exprimer, tout en mettant de cĂŽtĂ© le quotidien afin de mieux apprĂ©hender le futur.”SoirĂ©e de soutien aux migrants Informations Pratiques Restauration et Bar Sur place Agencement ExtĂ©rieur Prix Libre PrĂ©voir du cash DAB Ă©loignĂ© ACCESS 18 Quai Wilson, 44200 Nantes C5 terminus + marche 5 min En bas du Pont des Trois Continents cĂŽtĂ© Hangar Ă  Bananes Artwork by Gwendoline Blosse.
Maisondu peuple de Nantes Collectif de Soutien Migrants Nantes 19 juin · À l’occasion de la fĂȘte de la musique, les organisations membres de l’inter collectifs personne Ă  la rue organise une fĂȘte de la solidaritĂ© et de l’accueil inconditionnel Mar., 21 juin FĂȘte de la musique et de la solidaritĂ© Nantes, France 125 personnes intĂ©ressĂ©es 7 Commenter PubliĂ© le 04/08/2018 Ă  1758 , mis Ă  jour Ă  2124 Environ 500 personnes ont manifestĂ© samedi Ă  Nantes pour soutenir les migrants expulsĂ©s fin juillet d'un square du centre-ville, puis d'un ex-lycĂ©e oĂč des associations leur venant en aide les avaient installĂ©s, a constatĂ© l'AFP. Le cortĂšge, composĂ© de migrants et de militants, a dĂ©filĂ© dans le centre-ville Ă  l'appel du collectif nantais de soutien aux migrants, sous un soleil de plomb. "Nous ne sommes pas d'accord avec la loi Dublin", "Osons la fraternitĂ©" ou encore "Papiers et maisons", pouvait-on lire sur de larges banderoles. La manifestation, partie du square Daviais, oĂč un campement de plusieurs centaines de migrants avait Ă©tĂ© Ă©vacuĂ© fin juillet mais oĂč des tentes ont de nouveau Ă©tĂ© installĂ©es, s'est dĂ©roulĂ©e sans incident jusqu'au Miroir d'eau. Le collectif dĂ©nonce "les expulsions des lieux rĂ©quisitionnĂ©s par les associations", "les conditions sanitaires dans lesquelles ces populations vivent, faute d'Ă©quipements publics mis Ă  leur disposition et de distribution d'eau potable malgrĂ© la canicule", ainsi que "l'absence de propositions de relogement". Il rĂ©clame l'arrĂȘt des expulsions et la mise Ă  l'abri des migrants prĂ©sents Ă  Nantes. Le 23 juillet, 455 migrants, essentiellement originaires du Soudan et d'ÉrythrĂ©e, avaient Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s du square Daviais Ă  la demande de la prĂ©fecture. Le campement y Ă©tait installĂ© depuis plus d'un mois, dans une situation sanitaire prĂ©occupante, avec un seul point d'eau et un seul sanitaire. La prĂ©sence de rats et des cas de gale avaient Ă©tĂ© signalĂ©s. "147 personnes, les plus vulnĂ©rables, ont pu se voir proposer un hĂ©bergement Ă  cette occasion", a prĂ©cisĂ© la mairie de Nantes. Jeudi, quelque 261 migrants ont Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s de l'ex-lycĂ©e qu'ils avaient occupĂ© aprĂšs avoir Ă©tĂ© expulsĂ©s une premiĂšre fois, cette fois Ă  la demande de la mairie. "Il est impossible que le lycĂ©e Leloup-Bouhier, qui fait actuellement l'objet de travaux en vue de sa transformation en Ă©cole, soit occupĂ©", avait prĂ©cisĂ© AĂŻcha Bassal, adjointe Ă  la mairie de Nantes, dans un communiquĂ©. Le campement du square Daviais, qui ne comptait qu'une poignĂ©e de tentes mi-juin, s'est agrandi aprĂšs les Ă©vacuations successives de deux bĂątiments privĂ©s squattĂ©s, et au grĂ© d'arrivĂ©es depuis l'Italie ou l'Espagne de rĂ©fugiĂ©s, essentiellement soudanais et Ă©rythrĂ©ens. Le dĂ©partement de Loire-Atlantique, et Nantes en particulier, sont confrontĂ©s Ă  "une Ă©volution significative des flux depuis fin fĂ©vrier", selon les autoritĂ©s. Les demandes d'asile ont ainsi augmentĂ© de 28% en un an, lĂ  oĂč d'autres grandes villes ont enregistrĂ© des baisses. ÉvacuĂ©slundi d'un campement installĂ© dans un square du centre de Nantes, environ 300 migrants sans solution d'hĂ©bergement ont passĂ© la nuit dans un ancien lycĂ©e appartenant Ă  la ville, rĂ©quisitionnĂ© par des collectifs leur venant en aide, a-t-on appris mardi de sources concordantes. Plus de 450 personnes migrantes, essentiellement originaires du Soudan et
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Evacuationau coeur de Nantes d'un campement de 450 migrants . Live Challenges. Newsletter Services Magazine membre d'un collectif de soutien aux migrants. "Pour l'instant, la L’expulsion des migrants du square Daviais, qui se dĂ©roule dans le calme depuis ce jeudi matin Ă  Nantes, s’ajoute Ă  une liste dĂ©jĂ  longue, en Ă  peine un an. Si l’issue de cette derniĂšre sera diffĂ©rente un relogement dans des gymnases sera proposĂ© Ă  tous les occupants, elle sera presque la dixiĂšme vĂ©cue par ces hommes et ces femmes Retour sur cette longue novembre 2017Alors que plusieurs squats ont Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s ces derniers mois, les migrants et notamment les jeunes mineurs isolĂ©s, de plus en plus nombreux, affluent Ă  Nantes. Le 17 novembre, l'ancienne Ă©cole des Beaux-Arts, Ă  deux pas de la mairie, est rĂ©quisitionnĂ©e » par plusieurs dizaines de personnes. L’occupation dure 24h. La mairie de Nantes ordonne l’expulsion et met, dans la foulĂ©e 10 logements » Ă  Ă©cole des Beaux Arts de Nantes a Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©e dimanche aprĂšs-midi - J. Urbach/ 20 Minutes20 novembre 2017TrĂšs vite, les occupants trouvent un nouveau point de chute sur le campus universitaire du Tertre. Dans des salles de cours, d’abord, puis au chĂąteau du Tertre, un bĂątiment abritant des services universitaires mais inutilisĂ© dans l’attente de travaux de rĂ©habilitation. Leur installation dure un peu plus longtemps puisque l’universitĂ©, embarrassĂ©e par la situation, finit par dĂ©clencher l'Ă©vacuation dĂ©but mars, pendant les vacances scolaires. On parle cette fois d’une centaine de migrants. 8 mars 2018Au lendemain de cette nouvelle expulsion, cap est mis sur la rĂ©sidence Brea, une maison de retraite dĂ©saffectĂ©e de la ville de Nantes non loin du quai de la Fosse, qui compte une soixantaine de chambres et des Ă©quipements sanitaires. AidĂ©s par des associations et des Ă©tudiants, les migrants obtiennent rapidement de la mairie qu’elle renonce Ă  demander leur dĂ©part. 120 personnes pourront y rester, jusqu’à la fin de la trĂšve hivernale, le 31 mars. Mais trĂšs vite, les locaux saturent et des incidents Ă©clatent. La prĂ©fecture, qui dĂ©compte 500 occupants, dĂ©cide d’en rĂ©glementer les accĂšs et de dĂ©sengorger petit Ă  petit les de migrants dans une maison de retraite dĂ©saffectĂ©e, le 8 mars 2018 Ă  Nantes. - S. Salom-Gomis/SIPA10 juin 2018En parallĂšle, certains rĂ©fugiĂ©s se rassemblent dans le bĂątiment Cap 44, prĂšs de la carriĂšre MisĂ©ry. Neuf jours plus tard, l’évacuation de cet immeuble de bureaux, lui aussi vide, est juin 2018Quelques heures plus tard, une nouvelle occupation se dĂ©roule dans les bĂątiments de la PersagotiĂšre, un institut de formation avec un internat pour les personnes atteintes de surditĂ©. LĂ  encore, pour peu de temps, puisqu’une semaine plus tard, une cinquantaine de personnes sont expulsĂ©es par les forces de l’ordre. 28 juin 2018C’est le dĂ©but du campement du square Daviais, oĂč quelques tentes commencent Ă  s’installer. Ils sont une centaine fin juin, la plupart originaires du Soudan ou d’ErythrĂ©e. Un mois plus tard, jugeant les conditions sanitaires trop critiques, la prĂ©fecture demande l’évacuation des occupants, Ă©valuĂ©s Ă  450. 147 personnes, les plus vulnĂ©rables, ont pu se voir proposer un hĂ©bergement Ă  cette occasion », prĂ©cise alors la mairie de migrants et rĂ©fugiĂ©s Ă©vacuĂ©s du square Daviais sous pression de la police, le 23 juillet 2018. - SĂ©bastien SALOM GOMIS / AFP2 aoĂ»t 2018Nouvelle errance pour les migrants qui se dirigent vers l’ancien lycĂ©e Leloup-Bouhier, site alors en travaux en vue de sa transformation en Ă©cole. Quelque 250 migrants sont Ă©vacuĂ©s le 2 aoĂ»t. Ils reprennent le chemin du square Daviais, oĂč une centaine d’autres migrants s’étaient rĂ©installĂ©s, dĂšs le lendemain de la premiĂšre septembre 2018Ce jeudi, le square Daviais est une nouvelle fois vidĂ©. Mais cette fois, l’opĂ©ration doit aboutir Ă  une mise Ă  l’abri des 500 migrants que compte le site, aprĂšs une audience au tribunal administratif de Nantes. Pour cela, plusieurs gymnases de la ville ont Ă©tĂ© rĂ©quisitionnĂ©s, avant la recherche des solutions plus pĂ©rennes. Plusde 200 organisations, des trĂšs connues Ă  des micro-collectifs dans des villages, lancent un appel public inter-associatif Ă  Emmanuel Macron, Edouard Philippe et GĂ©rard Collomb pour que le gouvernement change radicalement sa politique migratoire. Elles rĂ©clament l’organisation d’une confĂ©rence nationale d’urgence pour qu
APPEL À MANIFESTER SAMEDI 1° MARS Ă  15h Place de la Mairie Ă  RENNES Le 18 fĂ©vrier, sur ordre de la PrĂ©fecture de Rennes, on a connu l’inacceptable la gendarmerie est allĂ©e chercher au petit matin une famille de 5 enfants dont un bĂ©bĂ© de 10 mois. Une premiĂšre en Ille et Vilaine ! Destination pour cette famille dĂ©boutĂ©e du Droit d’asile, dont le dernier recours n’était pas encore jugĂ© ? L’aĂ©roport de St Jacques de la Lande et un avion affrĂ©tĂ© spĂ©cialement pour les conduire Ă  Roissy oĂč ils devaient embarquer dans un autre avion. Destination finale pour cette famille ? Moscou oĂč nul ne savait ce qui les attendait. Mais, Jeux olympiques aidant, on veut sans doute croire que la Russie de Poutine est la patrie des Droits de l’Homme. Et si l’on parlait un peu des Droits de l’enfant en France ? Ces enfants qui vivent en France, depuis plus de 6 ans
 qui vont Ă  l’école ou au collĂšge
 Le dernier est nĂ© en France
 Que dit la Convention des Droits de l’Enfant que la France a ratifiĂ©e ? Article 2-1. Les Etats parties s’engagent Ă  respecter les droits qui sont Ă©noncĂ©s dans la prĂ©sente Convention et Ă  les garantir Ă  tout enfant. Article 3-1. Dans toutes les dĂ©cisions qui concernent les enfants, qu’elles soient le fait des institutions publiques ou privĂ©es de protection sociale, des tribunaux, des autoritĂ©s administratives ou des organes lĂ©gislatifs, l’intĂ©rĂȘt supĂ©rieur de l’enfant doit ĂȘtre une considĂ©ration primordiale. On y trouve aussi le droit inaliĂ©nable Ă  l’éducation pour tous les enfants. Et on en affiche une version simplifiĂ©e dans toutes les Ă©coles. Peut-on dire que la PrĂ©fecture dIlle et Vilaine a respectĂ© l’article 3, comme la France s’y est engagĂ©e ? Et le traumatisme de cet arrachement, l’interruption de leur scolaritĂ©, est-ce l’intĂ©rĂȘt supĂ©rieur de ces enfants ? On avait dĂ©jĂ  connu en France dans les annĂ©es 2000 de tels actes. La condamnation des associations et des citoyens avait obligĂ© le pouvoir d’alors Ă  y renoncer. On se souvient que de telles pratiques avaient Ă©tĂ© condamnĂ©es par des Ă©lu-e-s. Des engagements avaient Ă©tĂ© pris qu’elles ne se reproduiraient plus, par ceux-lĂ  mĂȘme qui les ordonnent ou les cautionnent aujourd’hui. La mobilisation des associations a permis cette fois-ci encore que ce mauvais coup n’aboutisse pas. Cette famille est libre, mais pour combien de temps ? Et combien d’autres sont promises au mĂȘme sort ? DĂ©jĂ , le 22 janvier, une famille avec deux enfants de 10 et 11 ans, assignĂ©e Ă  rĂ©sidence Ă  Dinan 22, avait Ă©tĂ© expulsĂ©e par avion privĂ© au dĂ©part de l'aĂ©roport de Rennes Saint-Jacques vers la Belgique. Les organisations signataires, associations, syndicats, partis, vous appellent Ă  venir dire haut et fort PLUS JAMAIS D’ENFANTS RAFLÉS AU PETIT MATIN ET EXPULSÉS ! HONTE À CEUX QUI ORDONNENT DE TELS ACTES ! Organisations signataires de l’appel MRAP Ille et Vilaine, RESF 35, LDH Rennes, AFPS, Conseil des migrants, Un Toit c’est un droit, CIMADE- Rennes, Mouvement de la Paix, Ensemble, CADTM, PCF, PG 35, EELV, UDB

Environ250 migrants, dont des familles avec enfants, sont menacĂ©s d’ĂȘtre expulsĂ©s d'un gymnase prĂšs de Nantes oĂč ils se sont installĂ©s depuis fin octobre. Les associations craignent que des expulsions sans dĂ©lai fragilisent encore plus ces personnes dĂ©jĂ  prĂ©caires. Environ 250 migrants, dont des familles avec enfants, sont menacĂ©s d’ĂȘtre expulsĂ©s d'un

SociĂ©tĂ© Nantes 500 manifestants pour soutenir les migrants expulsĂ©s © AFP/SEBASTIEN SALOM-GOMIS Environ 500 personnes ont manifestĂ© samedi Ă  Nantes pour soutenir les migrants expulsĂ©s fin juillet d'un square du centre-ville, puis d'un ex-lycĂ©e oĂč des associations leur venant en aide les avaient installĂ©s, a constatĂ© l'AFP. Le cortĂšge, composĂ© de migrants et de militants, a dĂ©filĂ© dans le centre-ville Ă  l'appel du collectif nantais de soutien aux migrants, sous un soleil de plomb. "Nous ne sommes pas d'accord avec la loi Dublin", "Osons la fraternitĂ©" ou encore "Papiers et maisons", pouvait-on lire sur de larges banderoles. La manifestation, partie du square Daviais, oĂč un campement de plusieurs centaines de migrants avait Ă©tĂ© Ă©vacuĂ© fin juillet mais oĂč des tentes ont de nouveau Ă©tĂ© installĂ©es, s'est dĂ©roulĂ©e sans incident jusqu'au Miroir d'eau. Le collectif dĂ©nonce "les expulsions des lieux rĂ©quisitionnĂ©s par les associations", "les conditions sanitaires dans lesquelles ces populations vivent, faute d'Ă©quipements publics mis Ă  leur disposition et de distribution d'eau potable malgrĂ© la canicule", ainsi que "l'absence de propositions de relogement". Il rĂ©clame l'arrĂȘt des expulsions et la mise Ă  l'abri des migrants prĂ©sents Ă  Nantes. Le 23 juillet, 455 migrants, essentiellement originaires du Soudan et d'ÉrythrĂ©e, avaient Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s du square Daviais Ă  la demande de la prĂ©fecture. Le campement y Ă©tait installĂ© depuis plus d'un mois, dans une situation sanitaire prĂ©occupante, avec un seul point d'eau et un seul sanitaire. La prĂ©sence de rats et des cas de gale avaient Ă©tĂ© signalĂ©s. "147 personnes, les plus vulnĂ©rables, ont pu se voir proposer un hĂ©bergement Ă  cette occasion", a prĂ©cisĂ© la mairie de Nantes. Jeudi, quelque 261 migrants ont Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s de l'ex-lycĂ©e qu'ils avaient occupĂ© aprĂšs avoir Ă©tĂ© expulsĂ©s une premiĂšre fois, cette fois Ă  la demande de la mairie. "Il est impossible que le lycĂ©e Leloup-Bouhier, qui fait actuellement l'objet de travaux en vue de sa transformation en Ă©cole, soit occupĂ©", avait prĂ©cisĂ© AĂŻcha Bassal, adjointe Ă  la mairie de Nantes, dans un communiquĂ©. Le campement du square Daviais, qui ne comptait qu'une poignĂ©e de tentes mi-juin, s'est agrandi aprĂšs les Ă©vacuations successives de deux bĂątiments privĂ©s squattĂ©s, et au grĂ© d'arrivĂ©es depuis l'Italie ou l'Espagne de rĂ©fugiĂ©s, essentiellement soudanais et Ă©rythrĂ©ens. Le dĂ©partement de Loire-Atlantique, et Nantes en particulier, sont confrontĂ©s Ă  "une Ă©volution significative des flux depuis fin fĂ©vrier", selon les autoritĂ©s. Les demandes d'asile ont ainsi augmentĂ© de 28 % en un an, lĂ  oĂč d'autres grandes villes ont enregistrĂ© des baisses. 04/08/2018 193615 - Nantes AFP - © 2018 AFP Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement Nantes 500 manifestants pour soutenir les migrants expulsĂ©s Lecollectif Soutien migrants Nantes et l’Autre cantine ont rĂ©agi aux propos de la prĂ©fecture recueillis par Presse OcĂ©an ce lundi 17 juin. Ils se dĂ©fendent d’appeler les migrants Ă  venir Lesort d'environ 250 migrants, installĂ©s depuis quatre mois Ă  Nantes dans un gymnase et une maison dans des conditions prĂ©caires dĂ©noncĂ©es par des associations, est menacĂ© par une demande d .