🦡 Vous Tous Qui Peinez Sous Le Fardeau

Venezà moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau. Description : Il y a des épreuves pénibles à vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible à la misère d'autrui. Mais il y a des épreuves extrêmement lourdes dont rien de bon ne semble sortir : injustice et révolte sont les seuls mots qui peuvent
Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous procurerai le repos» [ I ] Que voilà une bonne nouvelle. Nous avons tant de chose à porter le poids de notre travail, de nos responsabilités, de nos inquiétudes pour nous-mêmes ou nos proches. A quoi peut s’ajouter aussi fardeau de l’âge, de la santé, ou qui sait, le tiraillement de ces veilles blessures qui ne sont toujours pas refermées. Il y a des moments, comme on dit, où on en a vraiment plein le dos». Quelle bonne chose que Jésus se propose de nous en délivrer! Mais Jésus ajoute aussitôt Chargez-vous de mon joug!» Quoi!! Nous charger de ton joug? C’est comme cela que tu prétends nous soulager? Nous devons déjà porter tant de choses, et il faudrait en plus de tout cela ton joug? Et puis, on voit d’ici à quoi il ressemble ton joug ne serait-il pas du genre poutre horizontale coupée d’une traverse verticale, le genre cruciforme? Très peu pour nous. Le soulagement, oui, mais le joug non! [ II ] Illusion de croire que l’on peut vivre sans porter le joug! Car nul ne peut tracer le sillon de son existence à moins de tirer derrière lui sa charrue, et nul ne peut tirer sa charrue si elle n’est attelée à un joug. Ici quelques précisions techniques s’imposent au sujet de ce qu’on appelle précisément un joug. Une chose est un joug, autre chose un fardeau. Pesante la charrue, et lourde la terre que le bœuf doit retourner. Si l’on ne veut pas qu’il épuise inutilement son énergie, la charrue doit être reliée à la partie la plus vigoureuse de l’animal. Supposons par ex. que l’on ait la mauvaise idée de relier la charrue à son pied, il se casserait; si on la reliait à sa gorge, la pauvre bête s’étranglerait. C’est pourquoi dans leur grande ingéniosité, les paysans ont inventé justement le joug cette pièce d’attelage que l’on fixe sur la partie la plus vigoureuse du bœuf sa tête. Or notez bien ceci si la charrue est lourde, de soi le joug ne l’est pas particulièrement. Toute la fonction du joug au contraire est de permettre au bœuf de tirer la charrue sans se fatiguer inutilement. Eh bien ce problème que les paysans ont résolu par l’invention du joug, chaque homme doit le résoudre pour lui-même. Tous nous avons des charges à tirer la charge d’une œuvre difficile à accomplir; la charge de la fidélité à nos engagements; les charges de nos tâches quotidiennes, parfois usantes dans leur monotonie; la charge de l’épreuve à affronter; la charges des soucis qui nous obsèdent toutes choses que nous sommes bien obligés de tirer si nous voulons continuer à avancer dans la vie en creusant notre sillon. Autrement dit, pour chacun de nous se pose un problème d’ergonomie que l’on peut formuler ainsi sur quel point de notre être fixer le joug pour ne pas nous épuiser à la tâche en dépensant inutilement notre énergie? Ou, pour dire les choses autrement, dans quel but devons nous fournir nos efforts? En vue de quoi supportons-nous ce que nous supportons? L’être humain a essayé de résoudre ce problème d’ergonomie de plusieurs façons – Les uns n’agissent qu’en vertu de leurs impulsions immédiates, de leurs envies, de leurs plaisirs au fur et à mesure qu’ils se présentent. Ceux là apparemment, ignorent les servitudes du joug. Mais en réalité le plaisir finit tôt ou tard par s’avérer tyrannique, non seulement pour les autres mais pour eux-mêmes. Et vient fatalement le jour on l’on constate qu’on n’a rien construit de durable, qu’on n’a fait de valable dans sa vie. – Pour d’autres, le joug consiste à agir pour se prouver à soi-même ou pour montrer aux autres qu’on est fort, qu’on est quelqu’un de bien, qu’on est mieux que les autres. De défi en défi on peut ainsi mener fort loin sa charrue et accomplir des exploits. Mais vient fatalement le jour où l’épreuve plus forte que nous, finit par briser le joug de l’orgueil. Alors comme une bête de somme épuisée, on s’effondre lourdement sur le sol. Le désespoir. – Pour les autres, le joug est le sens du devoir. Loin de moi l’idée de médire du devoir, mais si le sens du devoir est le seul motif qui nous fait avancer, on finit par s’aigrir et se dessécher complètement. [ III ] Prenez mon joug, mettez-vous à mon école car je suis doux et humble de cœur» Jésus ne dit pas qu’il est venu nous décharger de tout fardeau. Comme tous les autres, le chrétien doit tirer le poids de ses responsabilités, de ses soucis, de ses épreuves, de ses échecs. Et puis, il faut bien le reconnaître que le chrétien doit tirer des fardeaux de surcroît qu’ignorent les autres hommes. Nous le savons bien l’Évangile nous commande la fidélité au Christ, le pardon des offenses, l’amour du prochain et même l’amour des ennemis, toutes choses qui peuvent s’avérer particulièrement pesantes. Seulement ce qui peut donner la force de porter tout cela, le joug qui nous permet de tirer de si lourdes charges n’est autre que l’amour pour le Christ. Tout entreprendre, tout supporter par amour pour Jésus, doux et humble de cœur tel est le joug qui peut rendre tout fardeau léger. Nous le savons d’expérience quand on aime vraiment quelqu’un, on est prêt à tout faire pour lui. De quels exploits surhumains, de quelles folies invraisemblables est capable l’amoureux! L’amour rend la vie plus légère, car l’amour dissout la pesanteur de nos égoïsmes, il relativise les difficultés qui paraissaient autrefois insurmontables, il permet de traverser victorieusement les épreuves; et tout cela l’amour le réalise parce qu’il nous fait vivre et agir pour la personne que l’on aime. Mais le prodige le plus étonnant de l’amour, c’est qu’il pousse l’amoureux à se charger lui-même du fardeau de l’être aimé. Et c’est ainsi que Dieu, follement épris de sa créature, en est venu à prendre chair pour porter avec nous le fardeau de notre humanité. Dès lors qu’on s’applique à méditer sur le fol amour qui a conduit Dieu à de telles extrémités, comment ne pas être remué jusqu’aux entrailles par la douceur et l’humilité du Verbe fait chair? Comment ne pas désirer prendre sur nos épaules le joug de son amour? Aimer allège toute nos charge, mais être aimé à ce point donne des ailes. Au lieu de peser sur nos épaules, c’est comme si ce joug nous saisissant par les épaules soustrayait l’âme aux pesanteurs de la terre la tirait vers le ciel. Certes, cette terre nous ne la quittons pas, et le fardeau, il nous faut toujours le tirer. Mais on sait alors que Jésus en personne le tire avec nous, et cela change tout. Trop beau pour être vrai? Alors une simple question comment cette femme dont on parle beaucoup en ce moment a-t-elle pu supporter le poids de 6 ans de captivité, 6 ans de brimades, de menaces, d’angoisse, au fin fond de cette forêt de Colombie, et cela sans jamais céder à la haine, sans rien perdre de cette dignité que nous avons pu voir l’autre jour sur son visage? Le joug qui lui a permis de porter tout cela, vous en avez tous vu des signes multiples ce chapelet autour de son poignet, ce chapelet qu’elle a confectionné elle-même grain par grain. Le signe de ce joug, vous l’avez vu aussi lorsque sitôt arrivée à l’aéroport, avant toute parole, elle a tracé le signe de la croix.
Ence temps-là, Jésus prit la parole : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos.
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 11,28-30. En ce temps-là, Jésus prit la parole Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. » Merci à Florence pour l'illustration ! Si vous souhaitez vous aussi participer au partage de la Parole de Dieu par vos talents d'illustrateurs, n'hésitez pas à nous écrire sur le formulaire de prends un instant pour méditer toutes ces choses dans mon cœur cf Luc 2,1927 commentairesQue vos paroles soient toujours bienveillantes, qu’elles ne manquent pas de sel, vous saurez ainsi répondre à chacun comme il faut. Col 4 6loaderPrier avec l'Évangile du jour en image
Uneparole de Jésus dans l'Évangile nous donne la solution : « Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai » (Mt 11, 28). Dieu veut notre bien, Il est tout-puissant et maître de tout, il s'agit de s'abandonner à Lui, de lui faire confiance. Dieu a créé le ciel et la terre à partir de rien, il
Seigneur Jésus, nous te bénissons, nous te rendons grâce, car tu es vraiment avec nous cet après midi. La Bible dit Ils regarderont vers celui qu’ils ont transpercé » Jn 1937. Seigneur, cet après midi nous voulons élever nos regards vers toi, nous voulons regarder vers la Croix, le lieu où tu as été crucifié pour nous Seigneur, à cause de nos péchés. Père nous regardons ton fils transpercé pour nous. Jean Baptiste dit Voici l’agneau de Dieu, qui enlève les péchés du monde ».Jn 129. Frères et sœurs bien aimés, élevons nos péchés vers le Seigneur. La Bible dit Si ton cœur te condamne, Dieu est plus grand que ton cœur»1 Jn 320. Seigneur, nous voulons mettre dans ta main cet après midi, tous nos péchés, tous nos fardeaux, tout ce qui pèse sur notre cœur. Seigneur tu as dit Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai.» Mt 1128. Seigneur, tu vois tes enfants ici rassemblés, étends ta main, libère nous du poids du péché, fais descendre sur nous ta compassion, fais descendre sur nous ta miséricorde. Ô Père, dans le Nom de Jésus, que ton Sang descende maintenant sur nous, que ton Sang brise nos chaînes. Tu n’as pas envoyé ton Fils pour nous condamner, Ô Seigneur, libère tes enfants du poids de la condamnation du péché. Tu es le Dieu de la miséricorde, fais descendre sur nous ta miséricorde, plus de miséricorde, libère nous de nous-mêmes, et de tout jugement. Pose ton regard sur nous, Seigneur, ce même regard que tu as posé sur Marie Madeleine, ce regard d’amour Jésus, ce regard qui ne condamne pas, ce regard d’amour Jésus. Ô Jésus pose ton regard d’amour sur chacun de nous. Saisis nous de ton amour Jésus, par le Saint Esprit. Ô descends amour de Dieu, lave nos cœurs, délivre nous de toute rancune et de toute haine Seigneur. Ton regard d’amour Jésus, ton amour Seigneur, fais nous sentir ta miséricorde. Ô Sang de l’Agneau, coule sur nous ; coule sur nous, Sang de l’Agneau. Ton précieux Sang nous couvre tous maintenant, Seigneur ; ton si précieux Sang, qui nous apporte le pardon et la protection. Laisse-toi envahir par la miséricorde qui descend sur toi. N’aie pas peur si tu sens ton cœur battre, n’aie pas peur si tu sens la douceur de Dieu descendre sur toi ; c’est l’amour de Dieu qui t’aime, qui veut te libérer maintenant. Que la miséricorde du Seigneur nous enveloppe maintenant. Que le Seigneur Jésus nous enveloppe de son amour et de sa miséricorde, merci Jésus. Frère Jean de la Croix ASTRODU 26/08/2022. HOROSCOPE DU JOUR. Déjà vendredi ! Votre horoscope d’aujourd’hui, 26 août 2022, pourrait bien réserver des surprises à votre signe du zodiaque. Si vous travaillez au sein d’une équipe de plusieurs personnes, vous serez peut-être confronté au désaccord d’un de vos collègues qui mettra à mal l
» Et moi, je vous procurerai le repos. » Dans une prière adressée au Seigneur, nous affirmons que notre secours est dans le Nom du Seigneur, Lui qui a fait le Ciel et la terre. Nous comptons sur Dieu pour cheminer. Seul, il peut nous apporter son Secours. Dans l’Évangile, il réaffirme Sa disponibilité pour nous aider. Il dit » Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. » Le repos qui vient de Dieu n’est pas une sorte de quiétisme inactif. Il y a, dans certaines religions, cette thèse de l’extinction des sens. Le sujet devient donc insensible à tout. Dieu n’enlève rien à notre humanité. Il nous donne un repos qui est cette paix intérieure dont l’évènement n’est pas tributaire de circonstances extérieures. » Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. » Le poids du fardeau, c’est tous ces soucis du moment que nous portons la gestion sans y intégrer Dieu. Seul, on ne pourra pas y arriver. Nous avons besoin du Secours de Dieu qui vient en aide à notre petitesse. Le poids du fardeau, c’est aussi refuser d’admettre cette petitesse. Pour aller vers le Seigneur et implorer son secours, il y a préalablement lieu d’envisager que nous ne sommes vulnérables. Alors, on répond à son appel, le début de l’expérience de la foi. » Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. » Le Seigneur nous donne la grâce du repos intérieur. Père Serge Martin Ainadou
Matthieu11, 28-30En ce temps-là, Jésus prit la parole et dit : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger.
Publié le 29 avril 2020Mercredi, 3e Semaine du Temps PascalHomélie du Père Alexandre de Bucy[button link= »lecture » class= »abcd »]Lire l’Évangile[/button] Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos ».Ces paroles de Jésus, je les prononce souvent ces après-midi, j’étais à l’hôpital d’Argenteuil, au chevet de malades du COVID-19, qui désiraient recevoir le sacrement des malades. Revêtu d’une blouse, d’un tablier, d’une charlotte, de lunettes protectrices, de gants, je ne pouvais emporter avec moi que l’huile des malades et des photocopies de la prière d’onction, à jeter en quittant chaque chambre. En présence des malades, ce sont ces paroles qui me sont venues à la bouche. Les mains vides, je ne pouvais donner que ce que le Seigneur me confiait son huile, signe de sa force contre le mal, et ces paroles, témoins de sa paix. J’ai vu de mes yeux combien le Seigneur apaisait après-midi, j’étais à l’église de St-Gratien, pour les obsèques de M. Jean-Claude Anne, la 48e célébration d’obsèques sur notre groupement paroissial, depuis le début du confinement le 15 mars dernier. Et ce sont ces paroles que nous avons écouté avec ses amis au moment où nous disions adieu à cet homme qui a connu tant d’ jour, à moi-même et à ceux et celles qui sont parfois épuisé par le confinement, l’isolement, la culpabilité, l’inquiétude du lendemain, le poids de la vie, la charge des enfants, les conditions de travail pour certains, ou l’incertitude sur la reprise du travail pour d’autres, je redis souvent ces mêmes ces paroles, déposons nos fardeaux devant Dieu et accueillons la paix profonde du cœur que Dieu nous donne. Prenez sur vous mon joug, …, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger ». En commentant ce texte, saint Augustin voit dans ce joug, facile à porter et léger, le bras du père prodigue qui se pose sur l’épaule du fils qui a dilapidé tout son héritage, une main qui pardonne, qui relève, et qui invite à la joie du festin. Cette main de Dieu renouvelle en profondeur la paix dans nos cœurs. C’est aussi la main des soignants qui prennent soin et guérissent, la main de nos proches qui consolent et expriment leur amour, la main de tous les travailleurs qui bâtissent et développent un monde pour tous, la main des éducateurs, qui montrent la bonne route et encouragent, la main des prêtres, qui bénissent et donnent le les gestes barrières, il n’est plus possible de poser sa main sur l’épaule de ceux qui nous entourent. Mais il est encore possible de bénir, de dire du bien de nos proches. Je vous invite tout au long de cette journée à bénir ceux que vous croisez, ceux avec qui vous vivez, et à faire grandir en eux la confiance, à alléger leurs !Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu Mt 11, 25-30[button link= »homelie » class= »abcd »]Retour à l’homélie[/button]En ce temps-là, Jésus prit la parole et dit Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux Père, tu l’as voulu ainsi dans ta m’a été remis par mon Père ; personne ne connaît le Fils, sinon le Père, et personne ne connaît le Père, sinon le Fils, et celui à qui le Fils veut le révéler. Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »Source de lecture...
Musique: Frère Jean-Baptiste de la Sainte Famille, o.c.d.300 choristes dirigés par Charles Wattebled, Les Chantres de ParisEglise Saint-Sulpice, ParisTous d
TopChrétien TopMusic Chant [V1] Vous qui ployez sous le fardeau Vous qui cherchez le vrai repos [C] Ne craignez pas pour votre corps Ne craignez pas devant la mort Levez les yeux vers le Seigneur Criez vers lui sans perdre coeur [V2] Vous qui tombez sur le chemin Le coeur blessé par les chagrins [V3] Vous qui pleurez dans vos prisons Vous qui fuyez votre maison Note importante Ces fichiers sont à utiliser uniquement dans le cadre privé. Pour tout usage public église / organisation / événement / groupe, merci de bien vouloir vous rapprocher de la LTC pour le paiement des droits des chants gérés par la LTC inclut l’ensemble des œuvres des recueils connus et bien d’autres, et vous rapprocher des auteurs directement pour les autres. Souscrire à une licence LTC Contacter la LTC sur contact Vous avez aimé ? Partagez autour de vous ! Venezà moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. Il y a des épreuves pénibles à vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible à la misère d'autrui. Mais il y a des épreuves... Lire la suite 17,90 € Ebook Téléchargement immédiat 12,99 € Grand format Expédié sous 3 à 6 jours 17,90 € Expédié sous 3 à 6 jours Livré chez vous entre le 5 septembre et le 6 septembre Il y a des épreuves pénibles à vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible à la misère d'autrui. Mais il y a des épreuves extrêmement lourdes dont rien de bon ne semble sortir injustice et révolte sont les seuls mots qui peuvent exprimer l'insoutenable pour les personnes touchées. C'est à ces personnes que je destine ce livre. Je veux essayer de leur montrer que, même dans le plus grand des tourments, une maladie incurable, une trahison, une disparition brutale, un chrétien n'est pas complètement désemparé. Il se tourne vers le Seigneur comme un pauvre, dépose sa souffrance dans ses bras et il écoute Jésus lui dire "Ton fardeau, nous le porterons ensemble et ton sourire baigné de larmes, je l'offre avec le mien au Père, pour le salut du monde ! " C'est la méthode des saints et il n'est jamais trop tard pour l'adopter. Date de parution 13/01/2021 Editeur ISBN 979-10-336-1042-7 EAN 9791033610427 Format Grand Format Présentation Dos carré collé Nb. de pages 258 pages Poids Kg Dimensions 13,5 cm × 20,4 cm × 2,2 cm Biographie de Pierre Descouvemont Prêtre du diocèse de Cambrai, l'auteur consacre aujourd'hui une partie de son ministère à montrer, par des livres ou des chroniques à la radio, la vérité et la splendeur des mystères chrétiens.
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Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai ».Mt 11, 28 Le Sabbat a été fait pour l’homme et non l’homme pour le Sabbat © August Rush Tel fut l’appel de Jésus à ceux qui peinaient sous le joug de la loi, des commandements et des enseignements. Cet extrait de l’évangile se passe un jour de sabbat. Les disciples ont faim. Ils arrachent les épis du champ. Au regard des pharisiens, leur geste équivaut à celui d’un moissonneur; or moissonner » est l’un des 39 activités interdites le sabbat. Pour les pharisiens, la vie se résume à une question de faire ou de ne pas faire. Mathieu présente Jésus comme maître du Sabbat qui pose l’amour miséricordieux comme principe premier. C’est la miséricorde que je désire, et non les sacrifices » v. 7. Jésus libère d’une approche religieuse » de la foi qui place les interdictions au centre et qui fait ployer les gens de foi sous le fardeau. Venez à moi »; Jésus recentre la loi des commandements à l’essentiel Dieu et son désir de rendre l’homme libre. Je te propose la vie et la mort » Dt 30, 15. C’est à nous de choisir qui est au centre!
Search Psaume De Deblocage. Quelques soit les difficultés que vous rencontrez ou que vous rencontrerez dans votre couple, refugiez-vous dans la prière Cet Stylo a le pouvoir d'écrire tout seul Tu seras à toujours délivré des pièges de tes ennemis : Le Seigneur me délivrera de toute œuvre mauvaise, et il me sauvera pour me faire entrer dans son
Evangile En ce temps-là, Jésus prit la parole Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »Prière Mon Dieu, j’ai confiance en Toi. Je crois que tu es mon Père, mon Papa. Tu m’aimes et Tu veux mon bien. Fais de moi ce qu’il te Jésus, doux et humble de cœur, rends mon cœur semblable au de réflexion 1. Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos ». Si je veux vivre ma vie loin de Jésus, mon fardeau sera lourd. Par contre, si je la vis avec Lui, mon fardeau est plus facile à porter. Sa présence rend ma croix plus douce, car c’est Lui le véritable repos pour mon âme. 2. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos ». Apprenons de la vie cachée de Jésus pendant trente longues années, ce cœur enflammé d’amour et de zèle pour les hommes s’est contenté d’une vie ordinaire, obéissant humblement au dessein d’amour du Père. Moi aussi, c’est en acceptant que ce soit Jésus, le Bon Pasteur, qui guide ma vie, que je trouverai le repos pour mon âme. 3. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger ». L’ai-je déjà expérimenté? Sinon, c’est peut-être parce que, trop souvent, je mets ma confiance en moi-même au lieu de la mettre en Dieu ; comme dit le prophète Isaïe dans la première lecture "Les jeunes gens se fatiguent, se lassent, et les athlètes s'effondrent, mais ceux qui mettent leur espérance dans le Seigneur trouvent des forces nouvelles ; ils prennent leur essor comme des aigles, ils courent sans se lasser, ils avancent sans se fatiguer ”. Dialogue Jésus, Tu es le Bon Pasteur. Je ne peux porter la croix par ma propre force et te suivre sur le chemin que Tu as pris. Toi, Tu rends mon fardeau léger en me donnant ta force. Ta présence même me procure repos et réconfort. C’est Toi ma force. Et si je suis loin de Toi, je t’appellerai. Alors Tu viendras et Tu me prendras sur tes Parler à Jésus de mes problèmes. Vous tous qui peinez sous le fardeau, approchez-vous du Christ ; Tournez-vos cœurs vers sa lumière, source de vie éternelle." Notre Dieu nous rejoint au plus profond de notre humanité, dans nos Tout au long de ce Carême 2022, nous reprendrons ce chant Vous tous qui peinez Rey Vous tous qui peinez sous le fardeau, approchez-vous du Christ Tournez vos cœurs vers sa Lumière, source de vie éternelle 1/ Dans le désert ou dans la nuit, Dieu marche avec son Peuple Dans le combat contre le mal, il est notre Victoire ! 2/ Le Fils de Dieu resplendissant de la Gloire du Père Nous donne part à sa Clarté, sa Parole est Lumière ! 3/ Par votre foi, puisez la vie au Rocher qui nous sauve ! L’Esprit d’Amour vous comblera comme un torrent d’eau vive ! 4/ Son Corps livré pour nos péchés guérit toute blessure. Paix de nos cœurs, Joie du Royaume, Plénitude de grâce !

Collectivitéauteur : Centre européen de l'UNESCO pour l'enseignement supérieur Personne auteur : Wójcicka, Maria Dans : L'Enseignement supérieur en

En ce temps-là, Jésus prit la parole Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. » "Vous qui peinez et qui êtes surchargés"...Jésus, en disant cela, s'adressait en premier lieu à tous ceux qui étaient écrasés et blessés par le fardeau ou le joug de la Loi, mais aussi, plus largement, à tous ceux qui pliaient sous le poids des épreuves. Et là, chacun de nous se sent rejoint, compris, et interpellé. Car les épreuves sont notre lot à tous, au moins à certaines heures ou à certains tournants de la vie Epreuves de santé, épreuves de famille, épreuves dans la réalisation de nous-mêmes et, pour les consacrés, épreuves de la vie les personnes au caractère le plus heureux ou le mieux trempé peuvent se sentir un moment écrasé par l'épreuve ; et quand les soucis s'accumulent, elles accusent le coup, car le malheur leur semble sans issue."Venez à moi, dit Jésus, vous qui pliez sous le poids de la souffrance, vous qui pleurez un être cher, car je viens habiter votre à moi, vous qui êtes las de vous donner et de vous oublier, car avec moi cette mort sera fécon­ vous qui peinez au désert de la foi, car ma parole le fera à moi, vous que la haine a chassés de votre pays, de votre maison ou des horizons de votre enfance, car avec moi vous serez dans le pays de à moi, vous qui pleurez de ne pouvoir pardonner, car je suis doux et humble de à moi, et moi, je vous ferai reposer."Mais comment Jésus s'y prend-il, et quel ce repos qu'il nous promet ? Est-ce que le Seigneur enlève d'un seul coup de nos épaules toutes les charges et tous les jougs ?Non la plupart du temps nos fardeaux restent en place, même si parfois Dieu exauce nos prières de manière inattendue. Le plus souvent les fardeaux ne changent pas c'est nous qui changeons sous le fardeau, à partir du moment où nous l'assumons comme le fardeau que Jésus nous demande de porter, et à partir du moment où, à l'école de Jésus, nous reprenons un chemin d'humilité et de souvent c'est la révolte et l'agressivité qui nous ôtent toute force intérieure. Ce qui nous paralyse, c'est de deviner ou d'imaginer, derrière les épreuves, telle ou telle réaction trop humaine, telle ou telle incompréhension ou animosité, telle ou telle injustice, telle ou telle volonté de nous barrer la qui nous fait chavirer dans notre espérance, c'est d'interpréter nos souffrances comme un rejet de Dieu ou comme une absence de son l'école de Jésus, on n'échappe pas forcément à l'épreuve, mais on apprend à lui donner un sens, à l'orienter le plus possible vers la vie, à l'assumer résolument dans la réponse à fardeau demeure, mais il devient léger, parce que c'est l'amour qui le porte ce n'est plus le fardeau honni, mais le fardeau de Jésus. Le joug pèse encore sur les épaules, mais il ne fait plus mal, parce que Jésus lui-même l'a posé et l'ajuste chaque matin."Je vous ferai reposer", dit Jésus. Or son repos à lui fut rejoint à travers la Croix ; et c'est dans ce mystère qu'il nous invite à entrer c'est par l'humilité et la douceur qu'il est entré lui-même dans le repos de Dieu. … Vous rappelez-vous le jour où je vous ai dit que l’espérance est comme le bras transversal du doux joug qui soutient la foi et la charité, et qu’elle est le gibet de l’humanité et le trône du salut ? Oui ? Mais vous n’avez pas compris le sens de mes mots. Alors pourquoi ne pas m’en avoir demandé l’explication ? Moi, je vous la donne. C’est un joug, car elle oblige l’homme à rabaisser son stupide orgueil sous le poids des vérités éternelles, et c’est le gibet de cet orgueil. L’homme qui espère en Dieu son Seigneur humilie nécessairement son orgueil qui voudrait se proclamer “ dieu ”. Il reconnaît qu’il n’est rien et que Dieu est tout, qu’il ne peut rien et que Dieu peut tout, que, comme homme, il est pous­sière qui passe alors que Dieu est une éternité qui élève la poussière à un degré supérieur, en lui donnant une récompense d’éternité. L’homme se cloue à sa croix sainte pour parvenir à la Vie. Et il est crucifié par les flammes de la foi, de la charité, mais il est élevé au Ciel par l’espérance, qui est entre elles deux. Mais retenez bien cet enseignement si la charité fait défaut, le trône est sans lumière et le corps, décloué d’un côté, pend vers la fange parce qu’il ne voit plus le Ciel. Il annule ainsi les effets salutaires de l’espérance et finit par rendre stérile la foi elle-même en effet, détaché de deux des trois vertus théologales, on tombe dans une faiblesse et dans un froid mortels. Ne repoussez pas Dieu, même dans les moindres choses. Or c’est repousser Dieu que de refuser une aide à son prochain à cause d’un orgueil païen. Ma doctrine est un joug qui fait plier l’humanité coupable et c’est un maillet qui brise l’écorce dure pour en libérer l’esprit. C’est un joug et un maillet, oui. Néanmoins, celui qui l’accepte ne sent pas la lassitude que donnent les autres doctrines humaines et toutes les autres chaînes humaines. Celui qui s’en fait frapper ne ressent pas la douleur d’être brisé dans son moi humain, mais il éprouve un sentiment de libération. Pourquoi cherchez-vous à en être délivrés pour la remplacer par tout ce qui est plomb et douleur ? Vous avez tous vos souffrances et vos fatigues. L’humanité tout entière a des souffrances et des fatigues supérieures, parfois, aux forces humaines. Depuis l’enfant comme celui-ci qui porte déjà sur ses petites épaules un grand fardeau qui le fait ployer et enlève le sourire enfantin à ses lèvres et l’insouciance à son esprit qui, toujours humainement parlant, ne sera plus jamais celui d’un enfant, jusqu’au vieillard qui penche vers la tombe avec toutes les déceptions, les peines et les blessures de sa longue vie. Mais c’est dans ma Doctrine et dans la foi en moi que se trouve le soulagement de ces poids écrasants. C’est pourquoi on l’appelle la “ Bonne Nouvelle ”. Qui l’accepte et lui obéit sera bienheureux dès cette terre parce qu’il aura Dieu pour le soulager et les vertus pour lui rendre le chemin aisé et lumineux, comme s’il avait des sœurs pleines de bonté qui, en le tenant par la main, éclairent sa route et sa vie par des lampes allumées et lui chantent les éternelles promesses de Dieu jusqu’au moment où, laissant son corps fatigué tomber en paix sur la terre, il se réveille au paradis.
Jeudi16 juillet 2020. Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau Guillaume de Saint Thierry (vers 1075-1148). Moine bénédictin puis cistercien, ami de saint Bernard, Guillaume a laissé une quinzaine d’ouvrages, dont la célèbre “ Lettre d’or ”, adressée aux Chartreux du Mont-Dieu, et des “ Méditations ”, qui, sous forme de prières, nous font

Évangile selon saint Matthieu chapitre 11, versets 25-30 précédente suivante Les petits, c’est nous. Il faut commencer par là. Puisque l’Évangile nous a été révélé, et que l’Évangile est révélé aux petits, alors, les petits », c’est nous. Les petits ce sont ceux qui ne sont ni sages ni savants. C’est-à-dire ceux qui ne savent » pas. Mais il est bon que nous ne sachions pas, car aux sages et aux savants, la Révélation reste cachée. C’est quoi le problème des savants ? Le danger, ce n’est pas la science, bien sûr, ni la recherche ou l’intelligence. Le danger c’est celui de l’idolâtrie, de l’enfermement du réel dans des définitions, des dogmes, des Lois, des pratiques, autant de choses qui sont certainement des formulations nécessaires, mais auxquelles il ne faudrait jamais s’arrêter. Le danger, c’est l’oubli de notre ignorance fondamentale et pourtant bonne puisqu’elle ouvre nos oreilles. En effet, celui qui ne sait pas écoute, car il a besoin d’apprendre. Mais celui qui croit savoir, aveuglé par ses certitudes, reste sourd à la nouveauté de Dieu et à la complexité du monde. Il n’est pourtant pas question de se résigner au mystère » et encore moins de laisser les autres savoir » à notre place. Nous ne sommes pas idiots, nous sommes justes ignorants. Et cette ignorance de Dieu, du monde et de nous-mêmes, aussi, bien souvent, nous invite à l’humilité. Mais cela ne nous empêche pas d’être curieux. Humblement à l’écoute de l’Esprit, à l’écoute du monde, l’autre pourra se révéler, non pas tel que nous croyons le connaître, mais tel qu’il est vraiment sans cesse à découvrir. Alors, qu’attendons-nous pour ouvrir nos oreilles, discerner, interpréter, réfléchir, douter ? Avons-nous peur de nous perdre ? C’est pourtant sur ce chemin-là* que la vérité nous précède. *Évangile selon saint Luc ch 24, v 13-33

Lisez« Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau » de Pierre Descouvemont disponible chez Rakuten Kobo. Il y a des épreuves pénibles à vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible à la misère d' Le texte du chant Télécharger au format PDFAvertissement conformément au droit en vigueur, nous vous rappelons que ce chant est une oeuvre complète à part entière, c'est à dire un texte et une musique. En conséquence - ce texte ne peut en aucun cas être l'objet d'une autre mise en musique. - ce texte ne peut en aucun cas être modifié, dans son contenu comme dans sa structure apparente. - sa diffusion doit systématiquement contenir sa cote ainsi que le nom des auteur, compositeur et éditeur. Merci, dans l'usage que vous en ferez, de respecter ainsi le cadre légal sous peine de poursuites. Commentaires extrait de la revue Caecilia 3/1998 - Le supplément musical La préparation des dons. Dans la Présentation Générale du Missel Romain PGMR on peut lire au n° 49 "Au commencement de la liturgie eucharistique, on apporte à l'autel les dons qui deviendront le Corps et le Sang du Christ .... C'est un usage à recommander que de faire présenter le pain et le vin par des fidèles ... Bien que les fidèles n'apportent plus, comme autrefois, du pain et du vin de chez eux, ce rite de l'apport des dons garde sa valeur et sa signification spirituelle." N° 50 "La procession qui apporte les dons est accompagnée par le chant d'offertoire, qui se prolonge au moins jusqu'à ce que les dons aient été déposés sur l'autel. Les normes qui concernent la manière d'exécuter ce chant sont les mêmes que pour le chant d'entrée au n° 26 Il est exécuté alternativement par la chorale et le peuple ou, de façon analogue, par le chantre et le peuple, ou bien entièrement par le peuple ou par la chorale seule." Stance grande antienne, refrain et verset, voilà le schéma parfait du tropaire. Chant à l'unisson avec orgue, cette œuvre constitue un tout. Elle est unifiée par l'ostinato à la basse au dessein vraiment "obstiné". Stance quatre noires dont trois ascendantes et une descendante; Refrain et verset quatre noires en mouvement ondulant alternent avec le dessein de la stance trois ascendantes et une descendantes. Avec le dernier refrain II on passe au chant à deux voix mixtes femmes et hommes en imitation la basse obstinée continuant imperturbablement son mouvement jusqu'à la fin. Référence USC734 Fiche technique Auteurs Rimaud, Didier - Gelineau, Joseph Formation vocale FH - unisson Nombre de pages 2 Formation instrumentale Orgue
Ily a des épreuves pénibles à vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible à la misère d'autrui. Mais il y a des épreuves extrêmement lourdes dont rien de bon
Fête du jour S. Ambroise, évêque, docteur de l´ÉgliseEvangile En ce temps-là, Jésus prit la parole Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »Prière Seigneur, le poids que porte mon cœur est parfois bien lourd pour moi. J’ai du mal à le porter, j’ai du mal à continuer la route. Viens m’aider Seigneur. Viens rendre mon poids plus Avoir un cœur doux et humble comme celui de de réflexion 1. Jésus s’adresse ici au cœur de l’homme, à ce qu’il y a de plus profond en lui. En ouvrant son cœur, c’est au plus intime du cœur de l’homme que Jésus veut aller. La douceur et l’humilité du cœur de Jésus sont ses caractéristiques essentielles. Quand Jésus parle de son cœur, c’est avec ces mots qu’il en parle douceur et humilité. Jésus est tout le contraire de l’orgueil, de la puissance et de la force qui veulent s’imposer par la violence. Comment ne pas penser à cela devant Jésus présent dans l’Eucharistie ? Dans le Saint sacrement, Jésus nous montre encore cette douceur et cette humilité qui est la sienne. Et c’est cela, la douceur et l’humilité, ce qui peut seulement convertir en vérité le cœur des hommes. Dans un monde plein de compétition, un monde où l’argent et le pouvoir ont une place prédominante, l’homme a tendance à rendre son cœur dur, à le fermer aux autres. Et pour se rassurer, pour combler cette peur intime du regard des autres, il a tendance à rechercher le pouvoir et la richesse, qui lui assureront en apparence le respect des autres. Que faire devant cela ? La douceur et l’humilité de Jésus sont la seule vraie réponse. Cela seulement peut ouvrir le cœur des hommes. C’est seulement devant la douceur et l’humilité du cœur de Jésus que les hommes peuvent arriver à laisser les apparences, à ouvrir leur cœur, à se rendre vulnérables pour que l’amour de Dieu puisse rentrer en eux. 2. La souffrance des hommes est un mystère pour nous. Nous avons tous peur de la souffrance, et devant la souffrance des autres, et spécialement des personnes que nous aimons, nous ne comprenons pas, et nous pouvons même nous révolter. Et il est vrai que devant la souffrance, il n’y a souvent pas d’explication, pas de mots à dire. Et parfois pas de consolation possible. Mais la souffrance peut parfois nous aider à nous rapprocher de Dieu. Devant ce mystère de la souffrance, l’homme se trouve face à face avec son impuissance, avec sa faiblesse. Il se retrouve aussi avec le besoin de quelqu’un d’autre, quelqu’un qui puisse lui venir en aide. Et cela peut être un chemin vers Dieu. Qui serait tellement fort au point de ne jamais avoir besoin de personne ? Serait-il vraiment humain ? Devant cette faiblesse de l’homme, Jésus nous lance son appel Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau. » La souffrance peut être un chemin vers Dieu. Victor Hugo écrit dans Les Misérables La pupille se dilate dans la nuit et finit par y trouver du jour, de même que l’âme se dilate dans le malheur et finit par y trouver Dieu. » 3. Jésus nous rejoint dans notre souffrance, et il nous propose le repos. Le vrai repos, la paix de notre âme. Un homme qui tire un joug tout seul dans un champ fait un grand effort. Mais si un ami vient avec lui, et à deux ils tirent le joug, cet effort se fait déjà bien plus facile. Jésus est cet ami. Si nous le laissons venir dans notre vie, il prend notre joug, et nous propose non pas de ne plus faire d’efforts, mais de faire un effort non plus tout seul, mais avec lui. Partager une tâche la rend plus facile. Nous ne sommes pas seul en ce monde, Jésus est avec nous. Et nous devons nous aussi apprendre à partager le joug des autres, pour le rendre plus facile. Dieu n’a pas voulu que l’homme soit seul. C’est dans le partage, dans l’amour du prochain, dans la douceur et l’humilité que se trouve la réponse aux difficultés qui viennent tout au long de notre vie. Dialogue Seigneur, toi seul est le vrai repos de mon âme. C’est en toi que se trouve la paix. Il peut y avoir beaucoup de bruits, de tribulations, d’attaques autour de moi, mais si je suis près de toi, rien ne peut me quitter la paix. Près de toi je ne risque rien. Merci Aider quelqu’un qui en a besoin.
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