Uneparole de Jésus dans l'Évangile nous donne la solution : « Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai » (Mt 11, 28). Dieu veut notre bien, Il est tout-puissant et maître de tout, il s'agit de s'abandonner à Lui, de lui faire confiance. Dieu a créé le ciel et la terre à partir de rien, ilSeigneur Jésus, nous te bénissons, nous te rendons grâce, car tu es vraiment avec nous cet après midi. La Bible dit Ils regarderont vers celui qu’ils ont transpercé » Jn 1937. Seigneur, cet après midi nous voulons élever nos regards vers toi, nous voulons regarder vers la Croix, le lieu où tu as été crucifié pour nous Seigneur, à cause de nos péchés. Père nous regardons ton fils transpercé pour nous. Jean Baptiste dit Voici l’agneau de Dieu, qui enlève les péchés du monde ».Jn 129. Frères et sœurs bien aimés, élevons nos péchés vers le Seigneur. La Bible dit Si ton cœur te condamne, Dieu est plus grand que ton cœur»1 Jn 320. Seigneur, nous voulons mettre dans ta main cet après midi, tous nos péchés, tous nos fardeaux, tout ce qui pèse sur notre cœur. Seigneur tu as dit Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai.» Mt 1128. Seigneur, tu vois tes enfants ici rassemblés, étends ta main, libère nous du poids du péché, fais descendre sur nous ta compassion, fais descendre sur nous ta miséricorde. Ô Père, dans le Nom de Jésus, que ton Sang descende maintenant sur nous, que ton Sang brise nos chaînes. Tu n’as pas envoyé ton Fils pour nous condamner, Ô Seigneur, libère tes enfants du poids de la condamnation du péché. Tu es le Dieu de la miséricorde, fais descendre sur nous ta miséricorde, plus de miséricorde, libère nous de nous-mêmes, et de tout jugement. Pose ton regard sur nous, Seigneur, ce même regard que tu as posé sur Marie Madeleine, ce regard d’amour Jésus, ce regard qui ne condamne pas, ce regard d’amour Jésus. Ô Jésus pose ton regard d’amour sur chacun de nous. Saisis nous de ton amour Jésus, par le Saint Esprit. Ô descends amour de Dieu, lave nos cœurs, délivre nous de toute rancune et de toute haine Seigneur. Ton regard d’amour Jésus, ton amour Seigneur, fais nous sentir ta miséricorde. Ô Sang de l’Agneau, coule sur nous ; coule sur nous, Sang de l’Agneau. Ton précieux Sang nous couvre tous maintenant, Seigneur ; ton si précieux Sang, qui nous apporte le pardon et la protection. Laisse-toi envahir par la miséricorde qui descend sur toi. N’aie pas peur si tu sens ton cœur battre, n’aie pas peur si tu sens la douceur de Dieu descendre sur toi ; c’est l’amour de Dieu qui t’aime, qui veut te libérer maintenant. Que la miséricorde du Seigneur nous enveloppe maintenant. Que le Seigneur Jésus nous enveloppe de son amour et de sa miséricorde, merci Jésus. Frère Jean de la Croix ASTRODU 26/08/2022. HOROSCOPE DU JOUR. Déjà vendredi ! Votre horoscope d’aujourd’hui, 26 août 2022, pourrait bien réserver des surprises à votre signe du zodiaque. Si vous travaillez au sein d’une équipe de plusieurs personnes, vous serez peut-être confronté au désaccord d’un de vos collègues qui mettra à mal l
» Et moi, je vous procurerai le repos. » Dans une prière adressée au Seigneur, nous affirmons que notre secours est dans le Nom du Seigneur, Lui qui a fait le Ciel et la terre. Nous comptons sur Dieu pour cheminer. Seul, il peut nous apporter son Secours. Dans l’Évangile, il réaffirme Sa disponibilité pour nous aider. Il dit » Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. » Le repos qui vient de Dieu n’est pas une sorte de quiétisme inactif. Il y a, dans certaines religions, cette thèse de l’extinction des sens. Le sujet devient donc insensible à tout. Dieu n’enlève rien à notre humanité. Il nous donne un repos qui est cette paix intérieure dont l’évènement n’est pas tributaire de circonstances extérieures. » Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. » Le poids du fardeau, c’est tous ces soucis du moment que nous portons la gestion sans y intégrer Dieu. Seul, on ne pourra pas y arriver. Nous avons besoin du Secours de Dieu qui vient en aide à notre petitesse. Le poids du fardeau, c’est aussi refuser d’admettre cette petitesse. Pour aller vers le Seigneur et implorer son secours, il y a préalablement lieu d’envisager que nous ne sommes vulnérables. Alors, on répond à son appel, le début de l’expérience de la foi. » Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. » Le Seigneur nous donne la grâce du repos intérieur. Père Serge Martin Ainadou
Matthieu11, 28-30En ce temps-là , Jésus prit la parole et dit : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger.Publié le 29 avril 2020Mercredi, 3e Semaine du Temps PascalHomélie du Père Alexandre de Bucy[button link= »lecture » class= »abcd »]Lire l’Évangile[/button] Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos ».Ces paroles de Jésus, je les prononce souvent ces après-midi, j’étais à l’hôpital d’Argenteuil, au chevet de malades du COVID-19, qui désiraient recevoir le sacrement des malades. Revêtu d’une blouse, d’un tablier, d’une charlotte, de lunettes protectrices, de gants, je ne pouvais emporter avec moi que l’huile des malades et des photocopies de la prière d’onction, à jeter en quittant chaque chambre. En présence des malades, ce sont ces paroles qui me sont venues à la bouche. Les mains vides, je ne pouvais donner que ce que le Seigneur me confiait son huile, signe de sa force contre le mal, et ces paroles, témoins de sa paix. J’ai vu de mes yeux combien le Seigneur apaisait après-midi, j’étais à l’église de St-Gratien, pour les obsèques de M. Jean-Claude Anne, la 48e célébration d’obsèques sur notre groupement paroissial, depuis le début du confinement le 15 mars dernier. Et ce sont ces paroles que nous avons écouté avec ses amis au moment où nous disions adieu à cet homme qui a connu tant d’ jour, à moi-même et à ceux et celles qui sont parfois épuisé par le confinement, l’isolement, la culpabilité, l’inquiétude du lendemain, le poids de la vie, la charge des enfants, les conditions de travail pour certains, ou l’incertitude sur la reprise du travail pour d’autres, je redis souvent ces mêmes ces paroles, déposons nos fardeaux devant Dieu et accueillons la paix profonde du cœur que Dieu nous donne. Prenez sur vous mon joug, …, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger ». En commentant ce texte, saint Augustin voit dans ce joug, facile à porter et léger, le bras du père prodigue qui se pose sur l’épaule du fils qui a dilapidé tout son héritage, une main qui pardonne, qui relève, et qui invite à la joie du festin. Cette main de Dieu renouvelle en profondeur la paix dans nos cœurs. C’est aussi la main des soignants qui prennent soin et guérissent, la main de nos proches qui consolent et expriment leur amour, la main de tous les travailleurs qui bâtissent et développent un monde pour tous, la main des éducateurs, qui montrent la bonne route et encouragent, la main des prêtres, qui bénissent et donnent le les gestes barrières, il n’est plus possible de poser sa main sur l’épaule de ceux qui nous entourent. Mais il est encore possible de bénir, de dire du bien de nos proches. Je vous invite tout au long de cette journée à bénir ceux que vous croisez, ceux avec qui vous vivez, et à faire grandir en eux la confiance, à alléger leurs !Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu Mt 11, 25-30[button link= »homelie » class= »abcd »]Retour à l’homélie[/button]En ce temps-là , Jésus prit la parole et dit Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux Père, tu l’as voulu ainsi dans ta m’a été remis par mon Père ; personne ne connaît le Fils, sinon le Père, et personne ne connaît le Père, sinon le Fils, et celui à qui le Fils veut le révéler. Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »Source de lecture...
Musique: Frère Jean-Baptiste de la Sainte Famille, o.c.d.300 choristes dirigés par Charles Wattebled, Les Chantres de ParisEglise Saint-Sulpice, ParisTous dTopChrétien TopMusic Chant [V1] Vous qui ployez sous le fardeau Vous qui cherchez le vrai repos [C] Ne craignez pas pour votre corps Ne craignez pas devant la mort Levez les yeux vers le Seigneur Criez vers lui sans perdre coeur [V2] Vous qui tombez sur le chemin Le coeur blessé par les chagrins [V3] Vous qui pleurez dans vos prisons Vous qui fuyez votre maison Note importante Ces fichiers sont à utiliser uniquement dans le cadre privé. Pour tout usage public église / organisation / événement / groupe, merci de bien vouloir vous rapprocher de la LTC pour le paiement des droits des chants gérés par la LTC inclut l’ensemble des œuvres des recueils connus et bien d’autres, et vous rapprocher des auteurs directement pour les autres. Souscrire à une licence LTC Contacter la LTC sur contact Vous avez aimé ? Partagez autour de vous ! Venezà moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. Il y a des épreuves pénibles à vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible à la misère d'autrui. Mais il y a des épreuves... Lire la suite 17,90 € Ebook Téléchargement immédiat 12,99 € Grand format Expédié sous 3 à 6 jours 17,90 € Expédié sous 3 à 6 jours Livré chez vous entre le 5 septembre et le 6 septembre Il y a des épreuves pénibles à vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible à la misère d'autrui. Mais il y a des épreuves extrêmement lourdes dont rien de bon ne semble sortir injustice et révolte sont les seuls mots qui peuvent exprimer l'insoutenable pour les personnes touchées. C'est à ces personnes que je destine ce livre. Je veux essayer de leur montrer que, même dans le plus grand des tourments, une maladie incurable, une trahison, une disparition brutale, un chrétien n'est pas complètement désemparé. Il se tourne vers le Seigneur comme un pauvre, dépose sa souffrance dans ses bras et il écoute Jésus lui dire "Ton fardeau, nous le porterons ensemble et ton sourire baigné de larmes, je l'offre avec le mien au Père, pour le salut du monde ! " C'est la méthode des saints et il n'est jamais trop tard pour l'adopter. Date de parution 13/01/2021 Editeur ISBN 979-10-336-1042-7 EAN 9791033610427 Format Grand Format Présentation Dos carré collé Nb. de pages 258 pages Poids Kg Dimensions 13,5 cm × 20,4 cm × 2,2 cm Biographie de Pierre Descouvemont Prêtre du diocèse de Cambrai, l'auteur consacre aujourd'hui une partie de son ministère à montrer, par des livres ou des chroniques à la radio, la vérité et la splendeur des mystères chrétiens.
Search Psaume De Deblocage. Quelques soit les difficultés que vous rencontrez ou que vous rencontrerez dans votre couple, refugiez-vous dans la prière Cet Stylo a le pouvoir d'écrire tout seul Tu seras à toujours délivré des pièges de tes ennemis : Le Seigneur me délivrera de toute œuvre mauvaise, et il me sauvera pour me faire entrer dans sonEvangile En ce temps-là , Jésus prit la parole Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »Prière Mon Dieu, j’ai confiance en Toi. Je crois que tu es mon Père, mon Papa. Tu m’aimes et Tu veux mon bien. Fais de moi ce qu’il te Jésus, doux et humble de cœur, rends mon cœur semblable au de réflexion 1. Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos ». Si je veux vivre ma vie loin de Jésus, mon fardeau sera lourd. Par contre, si je la vis avec Lui, mon fardeau est plus facile à porter. Sa présence rend ma croix plus douce, car c’est Lui le véritable repos pour mon âme. 2. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos ». Apprenons de la vie cachée de Jésus pendant trente longues années, ce cœur enflammé d’amour et de zèle pour les hommes s’est contenté d’une vie ordinaire, obéissant humblement au dessein d’amour du Père. Moi aussi, c’est en acceptant que ce soit Jésus, le Bon Pasteur, qui guide ma vie, que je trouverai le repos pour mon âme. 3. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger ». L’ai-je déjà expérimenté? Sinon, c’est peut-être parce que, trop souvent, je mets ma confiance en moi-même au lieu de la mettre en Dieu ; comme dit le prophète Isaïe dans la première lecture "Les jeunes gens se fatiguent, se lassent, et les athlètes s'effondrent, mais ceux qui mettent leur espérance dans le Seigneur trouvent des forces nouvelles ; ils prennent leur essor comme des aigles, ils courent sans se lasser, ils avancent sans se fatiguer ”. Dialogue Jésus, Tu es le Bon Pasteur. Je ne peux porter la croix par ma propre force et te suivre sur le chemin que Tu as pris. Toi, Tu rends mon fardeau léger en me donnant ta force. Ta présence même me procure repos et réconfort. C’est Toi ma force. Et si je suis loin de Toi, je t’appellerai. Alors Tu viendras et Tu me prendras sur tes Parler à Jésus de mes problèmes. Vous tous qui peinez sous le fardeau, approchez-vous du Christ ; Tournez-vos cœurs vers sa lumière, source de vie éternelle." Notre Dieu nous rejoint au plus profond de notre humanité, dans nos Tout au long de ce Carême 2022, nous reprendrons ce chant Vous tous qui peinez Rey Vous tous qui peinez sous le fardeau, approchez-vous du Christ Tournez vos cœurs vers sa Lumière, source de vie éternelle 1/ Dans le désert ou dans la nuit, Dieu marche avec son Peuple Dans le combat contre le mal, il est notre Victoire ! 2/ Le Fils de Dieu resplendissant de la Gloire du Père Nous donne part à sa Clarté, sa Parole est Lumière ! 3/ Par votre foi, puisez la vie au Rocher qui nous sauve ! L’Esprit d’Amour vous comblera comme un torrent d’eau vive ! 4/ Son Corps livré pour nos péchés guérit toute blessure. Paix de nos cœurs, Joie du Royaume, Plénitude de grâce !
Collectivitéauteur : Centre européen de l'UNESCO pour l'enseignement supérieur Personne auteur : Wójcicka, Maria Dans : L'Enseignement supérieur en
En ce temps-lĂ , JĂ©sus prit la parole Venez Ă moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cĹ“ur, et vous trouverez le repos pour votre âme. Oui, mon joug est facile Ă porter, et mon fardeau, lĂ©ger. » "Vous qui peinez et qui ĂŞtes surchargĂ©s"...JĂ©sus, en disant cela, s'adressait en premier lieu Ă tous ceux qui Ă©taient Ă©crasĂ©s et blessĂ©s par le fardeau ou le joug de la Loi, mais aussi, plus largement, Ă tous ceux qui pliaient sous le poids des Ă©preuves. Et lĂ , chacun de nous se sent rejoint, compris, et interpellĂ©. Car les Ă©preuves sont notre lot Ă tous, au moins Ă certaines heures ou Ă certains tournants de la vie Epreuves de santĂ©, Ă©preuves de famille, Ă©preuves dans la rĂ©alisation de nous-mĂŞmes et, pour les consacrĂ©s, Ă©preuves de la vie les personnes au caractère le plus heureux ou le mieux trempĂ© peuvent se sentir un moment Ă©crasĂ© par l'Ă©preuve ; et quand les soucis s'accumulent, elles accusent le coup, car le malheur leur semble sans issue."Venez Ă moi, dit JĂ©sus, vous qui pliez sous le poids de la souffrance, vous qui pleurez un ĂŞtre cher, car je viens habiter votre Ă moi, vous qui ĂŞtes las de vous donner et de vous oublier, car avec moi cette mort sera fĂ©con vous qui peinez au dĂ©sert de la foi, car ma parole le fera Ă moi, vous que la haine a chassĂ©s de votre pays, de votre maison ou des horizons de votre enfance, car avec moi vous serez dans le pays de Ă moi, vous qui pleurez de ne pouvoir pardonner, car je suis doux et humble de Ă moi, et moi, je vous ferai reposer."Mais comment JĂ©sus s'y prend-il, et quel ce repos qu'il nous promet ? Est-ce que le Seigneur enlève d'un seul coup de nos Ă©paules toutes les charges et tous les jougs ?Non la plupart du temps nos fardeaux restent en place, mĂŞme si parfois Dieu exauce nos prières de manière inattendue. Le plus souvent les fardeaux ne changent pas c'est nous qui changeons sous le fardeau, Ă partir du moment oĂą nous l'assumons comme le fardeau que JĂ©sus nous demande de porter, et Ă partir du moment oĂą, Ă l'Ă©cole de JĂ©sus, nous reprenons un chemin d'humilitĂ© et de souvent c'est la rĂ©volte et l'agressivitĂ© qui nous Ă´tent toute force intĂ©rieure. Ce qui nous paralyse, c'est de deviner ou d'imaginer, derrière les Ă©preuves, telle ou telle rĂ©action trop humaine, telle ou telle incomprĂ©hension ou animositĂ©, telle ou telle injustice, telle ou telle volontĂ© de nous barrer la qui nous fait chavirer dans notre espĂ©rance, c'est d'interprĂ©ter nos souffrances comme un rejet de Dieu ou comme une absence de son l'Ă©cole de JĂ©sus, on n'Ă©chappe pas forcĂ©ment Ă l'Ă©preuve, mais on apprend Ă lui donner un sens, Ă l'orienter le plus possible vers la vie, Ă l'assumer rĂ©solument dans la rĂ©ponse Ă fardeau demeure, mais il devient lĂ©ger, parce que c'est l'amour qui le porte ce n'est plus le fardeau honni, mais le fardeau de JĂ©sus. Le joug pèse encore sur les Ă©paules, mais il ne fait plus mal, parce que JĂ©sus lui-mĂŞme l'a posĂ© et l'ajuste chaque matin."Je vous ferai reposer", dit JĂ©sus. Or son repos Ă lui fut rejoint Ă travers la Croix ; et c'est dans ce mystère qu'il nous invite Ă entrer c'est par l'humilitĂ© et la douceur qu'il est entrĂ© lui-mĂŞme dans le repos de Dieu. … Vous rappelez-vous le jour oĂą je vous ai dit que l’espĂ©rance est comme le bras transversal du doux joug qui soutient la foi et la charitĂ©, et qu’elle est le gibet de l’humanitĂ© et le trĂ´ne du salut ? Oui ? Mais vous n’avez pas compris le sens de mes mots. Alors pourquoi ne pas m’en avoir demandĂ© l’explication ? Moi, je vous la donne. C’est un joug, car elle oblige l’homme Ă rabaisser son stupide orgueil sous le poids des vĂ©ritĂ©s Ă©ternelles, et c’est le gibet de cet orgueil. L’homme qui espère en Dieu son Seigneur humilie nĂ©cessairement son orgueil qui voudrait se proclamer “ dieu ”. Il reconnaĂ®t qu’il n’est rien et que Dieu est tout, qu’il ne peut rien et que Dieu peut tout, que, comme homme, il est pousÂsière qui passe alors que Dieu est une Ă©ternitĂ© qui Ă©lève la poussière Ă un degrĂ© supĂ©rieur, en lui donnant une rĂ©compense d’éternitĂ©. L’homme se cloue Ă sa croix sainte pour parvenir Ă la Vie. Et il est crucifiĂ© par les flammes de la foi, de la charitĂ©, mais il est Ă©levĂ© au Ciel par l’espĂ©rance, qui est entre elles deux. Mais retenez bien cet enseignement si la charitĂ© fait dĂ©faut, le trĂ´ne est sans lumière et le corps, dĂ©clouĂ© d’un cĂ´tĂ©, pend vers la fange parce qu’il ne voit plus le Ciel. Il annule ainsi les effets salutaires de l’espĂ©rance et finit par rendre stĂ©rile la foi elle-mĂŞme en effet, dĂ©tachĂ© de deux des trois vertus thĂ©ologales, on tombe dans une faiblesse et dans un froid mortels. Ne repoussez pas Dieu, mĂŞme dans les moindres choses. Or c’est repousser Dieu que de refuser une aide Ă son prochain Ă cause d’un orgueil paĂŻen. Ma doctrine est un joug qui fait plier l’humanitĂ© coupable et c’est un maillet qui brise l’écorce dure pour en libĂ©rer l’esprit. C’est un joug et un maillet, oui. NĂ©anmoins, celui qui l’accepte ne sent pas la lassitude que donnent les autres doctrines humaines et toutes les autres chaĂ®nes humaines. Celui qui s’en fait frapper ne ressent pas la douleur d’être brisĂ© dans son moi humain, mais il Ă©prouve un sentiment de libĂ©ration. Pourquoi cherchez-vous Ă en ĂŞtre dĂ©livrĂ©s pour la remplacer par tout ce qui est plomb et douleur ? Vous avez tous vos souffrances et vos fatigues. L’humanitĂ© tout entière a des souffrances et des fatigues supĂ©rieures, parfois, aux forces humaines. Depuis l’enfant comme celui-ci qui porte dĂ©jĂ sur ses petites Ă©paules un grand fardeau qui le fait ployer et enlève le sourire enfantin Ă ses lèvres et l’insouciance Ă son esprit qui, toujours humainement parlant, ne sera plus jamais celui d’un enfant, jusqu’au vieillard qui penche vers la tombe avec toutes les dĂ©ceptions, les peines et les blessures de sa longue vie. Mais c’est dans ma Doctrine et dans la foi en moi que se trouve le soulagement de ces poids Ă©crasants. C’est pourquoi on l’appelle la “ Bonne Nouvelle ”. Qui l’accepte et lui obĂ©it sera bienheureux dès cette terre parce qu’il aura Dieu pour le soulager et les vertus pour lui rendre le chemin aisĂ© et lumineux, comme s’il avait des sĹ“urs pleines de bontĂ© qui, en le tenant par la main, Ă©clairent sa route et sa vie par des lampes allumĂ©es et lui chantent les Ă©ternelles promesses de Dieu jusqu’au moment oĂą, laissant son corps fatiguĂ© tomber en paix sur la terre, il se rĂ©veille au paradis.Évangile selon saint Matthieu chapitre 11, versets 25-30 prĂ©cĂ©dente suivante Les petits, c’est nous. Il faut commencer par lĂ . Puisque l’Évangile nous a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©, et que l’Évangile est rĂ©vĂ©lĂ© aux petits, alors, les petits », c’est nous. Les petits ce sont ceux qui ne sont ni sages ni savants. C’est-Ă -dire ceux qui ne savent » pas. Mais il est bon que nous ne sachions pas, car aux sages et aux savants, la RĂ©vĂ©lation reste cachĂ©e. C’est quoi le problème des savants ? Le danger, ce n’est pas la science, bien sĂ»r, ni la recherche ou l’intelligence. Le danger c’est celui de l’idolâtrie, de l’enfermement du rĂ©el dans des dĂ©finitions, des dogmes, des Lois, des pratiques, autant de choses qui sont certainement des formulations nĂ©cessaires, mais auxquelles il ne faudrait jamais s’arrĂŞter. Le danger, c’est l’oubli de notre ignorance fondamentale et pourtant bonne puisqu’elle ouvre nos oreilles. En effet, celui qui ne sait pas Ă©coute, car il a besoin d’apprendre. Mais celui qui croit savoir, aveuglĂ© par ses certitudes, reste sourd Ă la nouveautĂ© de Dieu et Ă la complexitĂ© du monde. Il n’est pourtant pas question de se rĂ©signer au mystère » et encore moins de laisser les autres savoir » Ă notre place. Nous ne sommes pas idiots, nous sommes justes ignorants. Et cette ignorance de Dieu, du monde et de nous-mĂŞmes, aussi, bien souvent, nous invite Ă l’humilitĂ©. Mais cela ne nous empĂŞche pas d’être curieux. Humblement Ă l’écoute de l’Esprit, Ă l’écoute du monde, l’autre pourra se rĂ©vĂ©ler, non pas tel que nous croyons le connaĂ®tre, mais tel qu’il est vraiment sans cesse Ă dĂ©couvrir. Alors, qu’attendons-nous pour ouvrir nos oreilles, discerner, interprĂ©ter, rĂ©flĂ©chir, douter ? Avons-nous peur de nous perdre ? C’est pourtant sur ce chemin-lĂ * que la vĂ©ritĂ© nous prĂ©cède. *Évangile selon saint Luc ch 24, v 13-33
Lisez« Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau » de Pierre Descouvemont disponible chez Rakuten Kobo. Il y a des épreuves pénibles à vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible à la misère d' Le texte du chant Télécharger au format PDFAvertissement conformément au droit en vigueur, nous vous rappelons que ce chant est une oeuvre complète à part entière, c'est à dire un texte et une musique. En conséquence - ce texte ne peut en aucun cas être l'objet d'une autre mise en musique. - ce texte ne peut en aucun cas être modifié, dans son contenu comme dans sa structure apparente. - sa diffusion doit systématiquement contenir sa cote ainsi que le nom des auteur, compositeur et éditeur. Merci, dans l'usage que vous en ferez, de respecter ainsi le cadre légal sous peine de poursuites. Commentaires extrait de la revue Caecilia 3/1998 - Le supplément musical La préparation des dons. Dans la Présentation Générale du Missel Romain PGMR on peut lire au n° 49 "Au commencement de la liturgie eucharistique, on apporte à l'autel les dons qui deviendront le Corps et le Sang du Christ .... C'est un usage à recommander que de faire présenter le pain et le vin par des fidèles ... Bien que les fidèles n'apportent plus, comme autrefois, du pain et du vin de chez eux, ce rite de l'apport des dons garde sa valeur et sa signification spirituelle." N° 50 "La procession qui apporte les dons est accompagnée par le chant d'offertoire, qui se prolonge au moins jusqu'à ce que les dons aient été déposés sur l'autel. Les normes qui concernent la manière d'exécuter ce chant sont les mêmes que pour le chant d'entrée au n° 26 Il est exécuté alternativement par la chorale et le peuple ou, de façon analogue, par le chantre et le peuple, ou bien entièrement par le peuple ou par la chorale seule." Stance grande antienne, refrain et verset, voilà le schéma parfait du tropaire. Chant à l'unisson avec orgue, cette œuvre constitue un tout. Elle est unifiée par l'ostinato à la basse au dessein vraiment "obstiné". Stance quatre noires dont trois ascendantes et une descendante; Refrain et verset quatre noires en mouvement ondulant alternent avec le dessein de la stance trois ascendantes et une descendantes. Avec le dernier refrain II on passe au chant à deux voix mixtes femmes et hommes en imitation la basse obstinée continuant imperturbablement son mouvement jusqu'à la fin. Référence USC734 Fiche technique Auteurs Rimaud, Didier - Gelineau, Joseph Formation vocale FH - unisson Nombre de pages 2 Formation instrumentale OrgueIly a des épreuves pénibles à vivre, dont on a l'impression de sortir meilleur, plus fort, plus sensible à la misère d'autrui. Mais il y a des épreuves extrêmement lourdes dont rien de bon