🐫 N Entre Pas Docilement Dans Cette Douce Nuit

Sivous n’acceptez pas cet esprit fantôme, je me sentirai mal à l’aise et cela m’affectera dans le futur lorsque je pratiquerai ! » affirma sérieusement Douce Plume avant de fourrer obstinément cette Perle de Glace Liant-Spirituel dans les mains de Song Shuhang, ne lui donnant aucune chance de refuser à nouveau.

Je sais que certains d’entre vous ont en tout ou partie » fait leur deuil, vous êtes plus sages que moi. N’entre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de la lumière, Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes, Car ses mots n’ont point forgé de foudre, Il n’entre pas docilement dans cette douce nuit, Hurle, hurle à l’agonie de la lumière. Dylan Thomas poème cité dans Interstellar, le film de Chris Nolan Climat l’humanité proche de retombées climatiques cataclysmiques, alerte le Giec – La Libre Ne regrettons pas à l’heure ultime de ne pas avoir été beaucoup beaucoup beaucoup plus offensifs dans notre engagement pour le climat c’est pour la survie de l’humanité que nous nous battons, ni plus ni moins. Parfois, je ne suis même pas sûr que les environnementalistes eux-mêmes comprennent que le corps humain et l’espèce humaine sont comme les autres vivants susceptibles d’extinction face à une rupture climatique inédite dans leur histoire génétique. Et en tant que mammifères supérieurs tout en haut de la chaîne trophique mondiale, nous sommes beaucoup plus vulnérables que la plupart des espèces. Avec cet article dont je vous partage la référence, il y a franchement lieu d’initier une carte blanche signée par 500 scientifiques et personnalités, une lettre ouverte adressée à tous les gouvernements et tous les citoyens et tous les rédac chefs quid du traitement de l’urgence écologique par nos médias nada, pour mettre chacun devant ses responsabilités. Et de mener des actions bien plus fortes. Moi je ne peux pas mais ma plume me démange. Mais je ne peux pas me taire en tant que citoyen, vous me connaissez. Ceci devrait figurer en une de tous les journaux tant que ce n’est pas réglé. Les rédac chefs n’ont aucune excuse. Nous devrions être des centaines de millier dans les rues. Ce devrait être le dossier le plus urgent pour tous les politiques et les citoyens. La condamnation de la Belgique + cet article sur le futur rapport du GIEC on n’a pas le temps d’attendre d’aller en appel ni la publi du rapport en 2022. Ca fait depuis 2018 que la notion d’urgence écologique est martelée, jusqu’au plus haut niveau. Chaque année donne raison aux plus avant-gardistes. Mais regardez autour de vous aucune mobilisation générale. Tout citoyen lucide peut constater qu’on dort littéralement aux niveaux politique et citoyen en ce moment, la transition n’a même pas encore commencé concrètement. Or le déni est total. La fissure est béante entre le principe de réalité et notre vie quotidienne. La souffrance psychologique de ceux qui ont la moindre once de lucidité et d’empathie pour les autres êtres humains et vivants est gigantesque. C’est dramatique, absurde, nihiliste. Qu’on disparaisse, c’est notre sort individuel et même d’espèce. Mais pas sans combattre ! Je me demande tous les jours si ce que je fais là où je suis est digne de l’urgence, avec tout le respect pour des gens qui consacrent leur vie à la politique et à ses méandres. Mais ici on parle de notre vie à tous. Une situation extraordinaire nécessite des gens et des actes extraordinaires. La politique aussi doit se hisser à un niveau de jeu extraordinaire. Le réalisme habituel de ceux qui savent manoeuvrer » devient ici, désolé, un nihilisme qui ne dit pas son nom, aggravé par l’orgueil et le déni. Albert Camus l’homme révolté c’est la révolte face à la barbarie et l’absurde qui fonde notre humanité. Il n’y a pas d’excuse et oui, on accable toujours la minorité active de Margaret Mead, vous amis, mais il n’y a qu’elle, si personne n’est responsable, c’est que nous le sommes, il n’y a personne d’autre. Le silence est assourdissant depuis le début de la pandémie, il faut le crever ou nous allons crever. Il faut pousser un grand cri de révolte maintenant oui encore un, il ne faut cesser d’hurler tant que l’inertie demeure. C’est mon sentiment. Tout seul on ne peut rien faire, ensemble, on peut essayer. Ca nécessite que chacun sorte de sa réserve et de son confort diplomatique prenne des risques donc encore ? oui encore ! encore plus ? oui encore plus ! En 1940, de jeunes gens de 18 ans volaient dans des Spitfire pour empêcher les nazis d’envahir le Royaume-Uni, certains mourraient.

Heyc\u0019est Jacquie. Oui encore moi. Je ne vous lâcherai pas d\u0019une semelle. C\u0019est ma vie qui est en jeu, j\u0019ai donc le droit
Le vieil âge doit gronder, tempêter au déclin du jour. Hurler, hurler contre la mort de la lumière."voit le vaisseau s'éloigner de la terre* *bruit d'orgue puissant*frissons* *erection* Petit point blanc devant Saturne ,*notes de piano* *Silence total dans la salle* Oh putain ouai cette scène aussi Peut s'indiquer à lui même que seul la planète d'Edmunds est fiable* Peut s'indiquer à lui même tout de suite l'équation de la gravité* Décide de la transmettre à sa fille par une montre à la con grâce au pouvoir de l'amour et de revenir quand elle sera sur le point de crever* Message édité le 25 avril 2015 à 174508 par CadavreVolant "un parent est le fantôme de l'avenir de ses enfants" parle souvent de docking mais cette scène est tout aussi bandante putain, la citation plus le vaisseau qui s'éloigne Je ne comprend pas ce qu'il se passe et moi j aime le chocolat * TADADAAAAAA * Ce film Mais la VF Message édité le 25 avril 2015 à 182438 par WHEEE La VO Vf omg C'est comme la VF de true detective sur c+ ça perd tout son charme à la série Nan mais regarder un film de SF en VO sérieux vous êtes sérieux ?! Bon ok pour les bilingues mais lire les sous-titres avec un film pareil non mais...S'amuser à lire et rater les scènes en IMAX dans l'espace + le jeu d'acteur c'est pas l'essentiel dans un film de SF, je vois pas l'intérêt Je pensais pouvoir te regarder mourir mais finalement non je ne peux pas...Mais t'en fais pas je suis la, tu peux me parler, est ce que tu vois tes enfants ?Le mec qui parle normal en laissant l'autre crever LotteCarmille 25 avril 2015 à 221336 Alerte Je pensais pouvoir te regarder mourir mais finalement non je ne peux pas...Mais t'en fais pas je suis la, tu peux me parler, est ce que tu vois tes enfants ?Le mec qui parle normal en laissant l'autre crever -> je m'étais fais la même réflexion Ça va ?! Vous voyez vos enfants ?! Alors que c'est lui qui le fait crever " Je suis la pour vous " Victime de harcèlement en ligne comment réagir ?
Nentre pas docilement dans cette douce nuit,Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour,Hurler, hurler à l’agonie de la lumière,Si le sage sentan
N’entre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de la lumière, Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes, Car ses mots n’ont point forgé de foudre, Il n’entre pas docilement dans cette douce nuit, Hurler, hurler à l’agonie la lumière. Version originale et suite Do not go gentle into that good night, Old age should burn and rave at close of day ; Rage, rage, against dying of the light Tough wise men at their end know dark is right, Because their words had forked no lightning they Do not go gentle into that good night. Good men, the last wave by, crying how bright Their frail deeds might have danced in a green bay Rage, rage against dying of the light Wild men who caught and sang the sun in flight, And learn, too late, they grieved it on its way, Do not go gentle into that good night. Grave men, near death, who see with blinding sight Blind eyes could blaze like meters and be gay, Rage, rage against the dying of the light. And you, my father, there on the sad height, Curse, bless, me now with your fierce tears, I pray. Do not go gentle into that good night. Rage, rage against the dying of the light. Dylan Thomas
Thelatest Tweets from Bébou Baptou 🇲🇫 (@dundredmexicain). Hurlez. Hurlez à l'agonie de la lumière. Et n'entrez pas docilement, dans cette douce nuit. ☄️💫 Bannière par @nokutaaa le dieu. Soupex, France
N’entre pas apaisé dans cette bonne nuit, Les vieux devraient tonner, gronder quand le jour tombe ; Rage, mais rage encor lorsque meurt la lumière. Si le sage à la fin sait que l’ombre est la norme, Comme aucun de ses mots n’a fourché en foudre il N’entre pas apaisé dans cette bonne nuit. Le bon, près de la vague ultime, qui déplore Que sa vie frêle eût pu danser en verte baie, Il rage, il rage encor lorsque meurt la lumière. Le fou qui prit, chanta, le soleil en plein vol, Et conscient, trop tard, d’avoir bridé sa course, N’entre pas apaisé dans cette bonne nuit. Le juste, agonisant, qui voit d’un œil aveugle Qu’un œil aveugle peut briller, gai, météore, Il crie, il crie encor lorsque meurt la lumière. Et toi, mon père, là, sur ces tristes hauteurs, Maudis-moi, bénis-moi de pleurs durs, je le veux ! N’entre pas apaisé dans cette bonne nuit. Mais rage, rage encor lorsque meurt la lumière. Cette traduction originale, due à Lionel-Édouard Martin, relève du droit de la propriété intellectuelle. Il est permis de la diffuser, à la condition expresse que le nom du traducteur soit clairement indiqué. Do not go gentle into that good night, Old age should burn and rave at close of day; Rage, rage against the dying of the light. Though wise men at their end know dark is right, Because their words had forked no lightning they Do not go gentle into that good night. Good men, the last wave by, crying how bright Their frail deeds might have danced in a green bay, Rage, rage against the dying of the light. Wild men who caught and sang the sun in flight, And learn, too late, they grieved it on its way, Do not go gentle into that good night. Grave men, near death, who see with blinding sight Blind eyes could blaze like meteors and be gay, Rage, rage against the dying of the light. And you, my father, there on that sad height, Curse, bless me now with your fierce tears, I pray. Do not go gentle into that good night. Rage, rage against the dying of the light. in In Country Sleep [éd. New Directions, New York, 1952] D'autres poèmes de Dylan Thomas sur ce blog Dira-t-on que les dieux rouent de coups les nuages / Shall gods be said to thump the clouds Et la mort n’aura point d’empire / And death shall have no dominion

N’entre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de la lumière, Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont

Le film de Christopher Nolan, "Interstellar", l'a popularisé. La Colline vous propose de lire dans son intégralité ce poème du Gallois Dylan Thomas N’entre pas docilement dans cette douce nuit,Le vieil âge devrait brûler et s’emporter à la chute du jour ; Rager, s’enrager contre la mort de la lumière. Bien que les hommes sages à leur fin sachent que l’obscur est mérité, Parce que leurs paroles n’ont fourché nul éclair ils N’entrent pas docilement dans cette douce nuit. Les hommes bons, passée la dernière vague, criant combien clairs Leurs actes frêles auraient pu danser en un verre baie Ragent, s’enragent contre la mort de la lumière. Les hommes violents qui prient et chantèrent le soleil en plein vol, Et apprenant, trop tard, qu’ils l’ont affligé dans sa course, N’entrent pas docilement dans cette douce nuit. Les hommes graves, près de mourir, qui voient de vue aveuglante Que leurs yeux aveugles pourraient briller comme météores et s’égayer, Ragent, s’enragent contre la mort de la lumière. Et toi, mon père, ici sur la triste élévation Maudis-moi, bénis-moi à présent avec tes larmes violentes, je t’en prie. N’entre pas docilement dans cette douce nuit. Rage, enrage contre la mort de la lumière.
Nentre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de la lumière, Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes, Car ses mots n’ont point forgé de foudre, Il n’entre pas docilement dans cette douce nuit, Hurle, hurle à l’agonie de la lumière. Interstellar Olivier_98, 11 Septembre Do Not Go Gentle Into That Good Night de Dylan Thomas, traduction, analyse et postérité Dylan Thomas 1914-1953, grand poète gallois et buveur formidable au point d'en mourir, écrivit en 1947 son poème Do Not Go Gentle Into That Good Night titre donné d'après le premier ver, pendant un voyage en Italie. En français, le film Interstellar a popularisé la traduction "N’entre pas docilement dans cette douce nuit". Contexte d'écriture Le poème une villanelle, voir plus bas fut publié une première fois en 1951 dans la revue littéraire internationale Botteghe Oscure, basée à Rome, qui éditait des articles en plusieurs langues dont la moitié en anglais. Il est ensuite inclus dans le recueil In Country Sleep, And Other Poems, paru en 1952. Couverture du recueil de poèmes In country sleep de Dylan Thomas. Il est souvent suggéré ici et là que Thomas écrivit "Do not go gentle into that good night" parce que son père David John Thomas était agonisant, mais d'autres font remarquer que celui-ci ne mourut pas avant Noël 1952. Le fait est que David John Thomas a longtemps été malade d'un cancer et qu'il commençait à perdre la vue quand Dylan Thomas écrivit sa villanelle, ce qui explique en partie l'importance de la lumière dans le poème. Dans une lettre à Marguerite Caetani, fondatrice de Botteghe Oscure, Dylan Thomas déclare "La seule personne à qui je ne peux montrer le poème ci-inclus est, bien entendu, mon père, qui ne sait pas qu'il est mourant."“The only person I can’t show the enclosed poem to is, of course, my father, who doesn’t know he’s dying.” Photographie de Marguerite Caetani, fondatrice de la revue Botteghe Oscure. La traduction "N’entre pas docilement dans cette douce nuit" Le poème n'est pas entièrement traduit pour le film Interstellar, dont Frédéric Cerdal, qui double Michael Caine, lit deux strophes au cours d'une scène spatiale. On les trouvera ici transcrites N’entre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de la lumière, Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes, Car ses mots n’ont point forgé de foudre, Il n’entre pas docilement dans cette douce nuit, Hurle, hurle à l’agonie la lumière. Voici maintenant la version originale du poème Do not go gentle into that good night, Old age should burn and rave at close of day; Rage, rage against the dying of the light. Though wise men at their end know dark is right, Because their words had forked no lightning they Do not go gentle into that good night. Good men, the last wave by, crying how bright Their frail deeds might have danced in a green bay, Rage, rage against the dying of the light. Wild men who caught and sang the sun in flight, And learn, too late, they grieve it on its way, Do not go gentle into that good night. Grave men, near death, who see with blinding sight Blind eyes could blaze like meteors and be gay, Rage, rage against the dying of the light. And you, my father, there on the sad height, Curse, bless, me now with your fierce tears, I pray. Do not go gentle into that good night. Rage, rage against the dying of the light. Photographie de David John Thomas, père du poète Dylan Thomas. Voici maintenant une traduction personnelle de Thomas Spok, donc, datée de 2020 N’entre pas courtois dans cette bonne nuit, Le grand âge devrait s’embraser, fulminer au crépuscule ; Rage, enrage contre l’agonie de la lumière. Quoique les sages à leur terme sachent que l’obscur l’emporte, Parce que leurs mots n’ont déchaîné nulle foudre ils N’entrent pas courtois dans cette bonne nuit, Les bons, après la déferlante, s’écriant combien splendides Leurs actes frêles eussent dansé dans une baie verdoyante, Ragent, enragent contre l’agonie de la lumière. Les insensés, qui saisissaient le soleil en vol et le chantaient, Et apprennent, trop tard, qu’ils l’accablaient dans sa course, N’entrent pas courtois dans cette bonne nuit. Les hiératiques, près de mourir, qui voient aveuglément Qu’aveugles des yeux pourraient fuser tels des météores et joyeux, Ragent, enragent contre l’agonie de la lumière. Et toi, mon père, du haut de la triste altitude, Maudis, bénis-moi maintenant de tes larmes cruelles, je t’en prie. N’entre pas courtois dans cette bonne nuit. Rage, enrage contre l’agonie de la lumière. Par ailleurs, le lecteur pourra lire avec intérêt une traduction de Lionel-Édouard Martin suivre le lien pour lire sa version, lui-même poète et romancier il a choisi de transposer le pentamètre iambique anglais en alexandrin avec césure à l'hémistiche, respectant ainsi la régularité du classicisme métrique de l'original on en donnera ici qu'un extrait N’entre pas apaisé dans cette bonne nuit, Les vieux devraient tonner, gronder quand le jour tombe ; Rage, mais rage encor lorsque meurt la lumière. Si le sage à la fin sait que l’ombre est la norme, Comme aucun de ses mots n’a fourché en foudre il N’entre pas apaisé dans cette bonne nuit. Il est à noter qu'on peut lire également la version traduite par Alain Suied dans la collection poche Poésie/Gallimard nrf, dans un recueil intitulé Vision et Prière et autres poèmes la traduction du poème remonte à 1979. Le titre donne "N'entre pas sans violence dans cette bonne nuit" et la traduction N'entre pas sans violence dans cette bonne nuit,Le vieil âge devrait brûler et s'emporter à la chute du jour ;Rager, s'enrager contre la mort de la lumière. Bien que les hommes sages à leur fin sachent que l'obscur est mérité,Parce que leurs paroles n'ont fourché nul éclair ilsN'entrent pas sans violence dans cette bonne nuit. Les hommes bons, passée la dernière vague, criant combien clairsLeurs actes frêles auraient pu danser en une verte baieRagent, enragent contre la mort de la lumière. Les hommes violents qui prirent et chantèrent le soleil en plein vol,Et apprennent, trop tard, qu'ils l'ont affligé dans sa course,N'entrent pas sans violence dans cette bonne nuit. Les hommes graves, près de mourir, qui voient de vue aveuglanteQue leurs aveugles pourraient briller comme météores et s'égayer,Ragent, enragent contre la mort de la lumière. Et toi, mon père, ici sur la triste élévationMaudis, bénis-moi à présent avec tes larmes violentes, je t'en pas sans violence dans cette bonne enrage contre la mort de la lumière. Écouter Dylan Thomas lire "Do not go gentle into that good night"Après la Seconde Guerre mondiale, Dylan Thomas et sa famille ont des difficultés financières Thomas accepte alors d'écrire et enregistrer une séries d'émissions pour la BBC qui rencontrent le succès. De 1945 à 1948, plus d'une centaines d'enregistrements font entendre sa poésie, mais aussi des débats littéraires ou des critiques diverses. Lorsqu'il écrit "Do not go gentle into that good night", Thomas est une célébrité de la radio, et il est logique qu'il ait choisi d'enregistrer une lecture de son poème, que l'on peut écouter ci-dessous Éléments d'analyseLe poème de Dylan Thomas évoque la volonté d'en découdre jusque dans l'agonie, quand bien même il est impossible d'en triompher on songera sur ce sujet au poème "La tour noire" de Yeats. Les strophes montrent comment différentes personnes se comportent face à la mort, de l'homme "sage" de la deuxième strophe au propre près de Thomas dans la sixième. Il s'agit pour chacun de faire un bilan de la vie écoulée, de ce qui a été fait ou non, et dans ce dernier cas d'exprimer des regrets "words had forked no lightning" dans le cas du sage. Ce parcours de témoignage en témoignage est renforcé par le procédé de l'enjambement, par exemple dans la cinquième strophe Grave men, near death who see with blinding sight [enjambement] Blind eyes could blaze like meteors and be gay. On remarquera le passage de "blinding" à "blind", l'affaiblissement ou la perte de la vue due au grand âge permettant paradoxalement, en apparence, une meilleure vision de la vie menée. L'enjambement permet aussi de souligner le mouvement de la lecture et de la vie qui est donc aussi celui du temps qui mène, inéluctable, à la mort défiée. Celle-ci est assimilée évidemment à la nuit, image récurrente qui se décline par le biais de l'obscurité, du soleil faiblissant "The sun in flight" or elle est présentée aussi d'une façon positive, "good night" qui est aussi image d'un paradis ou du moins d'un repos. On pourra aisément faire le lien avec la maladie du père de Dylan Thomas "my father" pour qui la mort pouvait représenter la fin des souffrances dont il connaissait symboliquement les sommets, au plus près donc de la mort "sad height". Or pour le poète, ainsi que le rappelle le refrain, il est hors de question d'accepter la mort quand bien même elle apparaîtrait comme un soulagement. Un exemplaire de la revue Botteghe Oscure, avec Dylan Thomas entre autres noms prestigieux au sommaire... Dans l'ensemble, le poème développe une structure argumentative, de l'impératif de la première strophe, appliqué ensuite à différents types de personne hommes sages, bons, sauvages, sérieux... jusqu'au quatrain conclusif il s'agit toujours de refuser de se soumettre à la mort et d'inciter finalement la figure paternelle à enrager à son tour, selon les modèles qui lui sont fournis. On insistera brièvement sur l'importance de l'adjectif "gentle" dans le texte original, parfois considéré comme une faute de grammaire intentionnelle alors que l'anglais attendrait l'adverbe "gently" on peut suggérer que l'adjectif renvoie bien au sujet à qui est adressé l'injonction "do not go gentle" impliquant un "you", c'est-à-dire une adresse au lecteur, au père, tandis que l'adverbe "gently" s'appliquerait à l'action "go". L'adjectif fonctionnerait donc ici selon un principe d'ellipse grammaticale qui fait ressortir le ver. Un genre poétique, la villanelle Forme classique stricte et répandue dans la poésie anglaise, la villanelle respecte plusieurs critères - elle est constituée de dix-neuf vers répartis en cinq tercets et un quatrain final ; - elle est écrite en pentamètre iambique, ver fréquent de la poésie anglaise qui consiste à faire suivre une syllabe non accentuée d'une syllabe accentuée ; - seuls deux types de rimes sont utilisés tout le long du poème la rime en -ight "night", "light", "brigh"... et la rime en -ey "they", "day", "bay"... ; - le premier ver entier est répété aux sixième, douzième et dix-huitième vers ; - le troisième ver est répété aux neuvième, quinzième et dix-neuvième vers. Exemple de modèle, appliqué par Dylan Thomas A1 b A2 / a b A1 / a b A2 / a b A1 / a b A2 / a b A1 A2. Matthew McConaughey ému dans Interstellar. L'évolution de son personnage renvoie au poème de Dylan Thomas qui l'accompagne, en un sens, tout au long du film. On constate ainsi que dans le poème de Dylan Thomas, les vers "Do not go gentle into that good night" et "Rage, rage against the dying of the light" servent de refrain. La villanelle est traditionnellement associée aux thèmes pastoraux, à la nature, aux choses simples. De ce point de vue, le thème de la mort dans le poème de Thomas est compris comme partie du cycle naturel de la vie. Postérité musicale La popularité du poème de Dylan Thomas a conduit des musiciens à s'en inspirer pour des hommages musicaux très variés. Igor Stravinsky avait ainsi envisagé une collaboration avec Dylan Thomas pour une oeuvre de théâtre musical. Dès 1954, Stravinsky compose en mémoire du poète le chant funèbre In Memoriam Dylan Thomas. Il s'agit d'un chant pour ténor, quatre trombones et quatuor à cordes d'une durée d'environ huit minutes que l'on peut entendre sur youtube. Le deuxième mouvement est consacré à "Do not go gentle into that good night", chanté par le ténor. En 1989, c'est le musicien gallois John Cale ancien membre du groupe Velvet Underground qui utilise des poèmes de Thomas pour son album Words for the Dying, composé en réaction à la guerre des Malouines de 1982 qui oppose le Royaume-Uni à l'Argentine. Sur la face B de l'album se trouve notamment un enregistrement de "Do not go gentle into that good night" John Cale, pour la pochette de l'album Words for the Dying 1989 En 2015, le rappeur G-Eazy lit le début du poème en "Intro" de son album When It's Dark Out, gros succès de la période qui contribue encore à faire découvrir le poème plus d'un million de disques vendus ! Le rappeur G-Eazy pour la pochette de When It's Dark Out 2015. Plus récemment, le "parrain du Punk" Iggy Pop a proposé sa propre version intégralement lue du poème pour son album Free 2019, dont "Do not go gentle into that good night" occupe l'avant-dernière place. Une agence de pub avait contacté le rocker pour qu'il lise le poème en voix d'une publicité le chanteur vieillissant s'est d'abord montré peu enthousiaste, associant le poème à la scolarité "Je ne suis pas au lycée !" déclare-t-il, mais finalement n'a pas résisté au plaisir de l'intégrer à un disque... on peut entendre sa lecture ici, avec une trompette en fond entre autres. Iggy Pop, image promotionnelle pour son album Free 2019 où il chante la villanelle de Dylan Thomas. Postérité au cinéma Le cinéma également a su se souvenir du poème de Thomas... sachant d'ailleurs tirer parti de son statut de classique scolaire, par exemple pour le film Back To school 1986 d'Alan Metter, où l'on voit l'acteur comique Rodney Dangerfield, dans le rôle de Thornton Mellon, découvrir les bancs de la fac pour encourager son fils... et lui-même s'encourage en plein examen en récitant "Do not go gentle into that good night". Rodney Dangerfield récite le poème de Dylan Thomas dans Back to school, 1986. En 1996, c'est le blockbuster Independence Day de Roland Emmerich qui puise dans le poème de Thomas pour le discours patriotique du président des États-Unis joué par Bill Pullman. Celui-ci motive ses troupes avant un assaut décisif contre les envahisseurs aliens, s'exclamant très solennellement "We will not go quietly into the night" ! Curieuse utilisation, peut-être, d'un poème gallois qui n'avait rien à voir avec l'indépendance américaine... Bill Pullman incite à bouter les aliens hors du système solaire en récitant des vers de Dylan Thomas. Interstellar 2014 de Christopher Nolan a plus récemment contribué à la popularité du poème au niveau international, les vers de Thomas accompagnant en leitmotiv les différentes tentatives des personnages d'échapper à l'extinction de l'humanité l'espérance et les lumières des étoiles contrastent avec la noirceur spatiale. On peut écouter ici une lecture de l'acteur Michael Caine le professeur John Brand dans le film, ou encore une version interprétée par d'autres acteurs du film, dont Jessica Chastain ou Matthew McConaughey. La science-fiction et la poésie font bon ménage au cinéma voir Yeats et Equilibirum... Michael Caine cite plusieurs "Do not go gentle..." dans Interstellar 2014. Postérité en peintureOn ne s'étonnera pas sans doute que ce soit encore un gallois qui ait voulu rendre hommage au poème de Dylan Thomas, en l'occurrence l'artiste Ceri Richards 1903-1971. Il peignit trois peintures inspirées du poème, chacune datée respectivement de 1954, 1956 et 1965. Ceri Richards, Do not go gentle into that good night, 1956. Peinture à huile sur toile. Au sujet de la villanelle elle-même, Ceri Richards déclara "'Rage, rage against the dying of the light' est peut-être dans la nature de la contestation - mais futile. Ce ver qui revient à la fin de chaque strophe me semble affirmer la futilité de la contestation et de la proclamation. Ce sont nos oeuvres que nous laissons derrière nous." Référence dans un jeu vidéo Dans le jeu League of Legends de Riot Games, les joueurs peuvent entendre de temps à autre le personnage Aatrox citer "Rage against the dying of the light", Aatrox étant lui-même un ancien "Fils du soleil" devenu un "Darkin" fou de colère... Aatrox, personnage ténébreux du jeu League of Legends. Le poème a eu d'autres influences et continue d'inspirer au fil du temps, sous des formes diverses le premier roman de science-fiction de George R. R. Martin se nomme par exemple Dying of the light !, ce qui d'ailleurs renforce son statut de classique... ainsi que celui de Dylan Thomas dont le nom a notamment inspiré Robert Zimmerman pour devenir Bob Dylan !. Ci-dessous le poème de Thomas et une traduction au format JPG 91Likes, 2 Comments - Alexandre Touchet (@alex_gmc) on Instagram: “« N’entre pas docilement dans cette douce nuit »” Mai 2022C'est le jour de l'anniversaire de ma fille Hermione voir sujet correspondant dans ce blog. Nous nous sommes réunis avec Sarah, et deux autres amis pour fêter cet anniversaire. Je ne connaissais aucun des deux amis présents avant cette journée. Il y a Marc et Léa. Marc est un des tuteurs de Léa, celle-ci n'étant pas exclusive. La jeune femme est extrêmement discrète et se contente d'observer, d'essayer de comprendre l'ambiance de la soirée. De mon côté, je l'observe aussi. Même si je suis allé la chercher à la gare, nos rapports restent assez distants. Sarah surtout elle va dérider la situation en me provoquant et en provoquant Marc. Elle se retrouvera sur nos genoux à tour de rôle pour des fessées somme toutes assez légères. Du coup, Léa décide de provoquer un peu son tuteur et c'est à son tour qu'elle reçoit une petite peu plus tard dans la soirée, c'est moi qu'elle vient provoquer. Ce fut sa seule et unique erreur de la soirée. Explications j'ai l'habitude de jeunes filles assez, voire, très résistantes. Du coup, j'applique à Léa la même dynamique que j'ai coutume d'appliquer aux autres. Juste une dizaine de claques, et c'est déjà insupportable pour Léa prête à craquer. Étant donné que ce n'était pas le but, je stoppe immédiatement, je la prends dans mes bras et la réconforte, comme je fais systématiquement après avoir donné une fessée. Cette fessée scellera notre relation à jamais. Le fait d'avoir stoppé, de l'avoir réconforté sans la juger ni lui poser de question a établi la confiance entre lendemain, nos deux amis regagnent leurs pénates. Mais Léa souhaite nous revoir rapidement. Elle me demande à demi mots si je pouvais l'aider, être l'un de ses tuteurs. Je lui réponds que nous en parlerons à tête jours suivants, nous échangeons beaucoup par messagerie interposée. Je lui demande ce qu'elle souhaite et nous mettons des objectifs de tutorat en place ensemble. Parmi ces objectifs, il y en a un très important. Léa est une geek invétérée qui a pour habitude de passer des nuits blanches derrière son ordinateur ou son téléphone. Je le lui ai interdit. Pas de nuits blanches et un couvre feu à deux heures du matin elle a vingt ans et je me dois de lui laisser un peu de liberté correspondant à son âge. Je lui demande de préparer un tableau pour un suivi de ses objectifs et nous ferons un bilan d'ici une quinzaine de jours. Les quinze jours passent, et je retourne la chercher à la gare pour un petit séjour chez nous. Elle apprécie d'être avec nous. Les liens entre Hermione, Sarah, elle et moi se renforcent. Nous nous faisons beaucoup de câlins et Léa commence à trouver un peu ses marques. Elle sait toutefois qu'elle va passer un très mauvais moment. Je lui ai interdit les nuits blanches strictement. En regardant son tableau, il y a de nombreux dépassements de couvre-feu et une nuit blanche. Je décide de régler cela en soirée. Je sais maintenant qu'elle a un fessier sensible. J'agirai en fonction. Arrive donc le moment tant redouté "Il faut qu'on discute en tête à tête toi et moi !" Elle a tout de suite compris que ça allait chauffer pour ses fesses, surtout avec le souvenir de la première qu'elle a reçue dans le cadre du jeu en plus. Maintenant cela va être une punition et si elle me suit dans la chambre docilement, c'est avec une très forte appréhension, voire même une certaine peur."J'ai regardé ton tableau, Léa, que dois-je en penser ?- C'est pas vraiment joli, me répond-elle Et que dois-je faire, d'après toi ?- Me punir ?- D'accord, et comment devrais-je te punir ?- Par une bonne fessée ?- Pas une, mais deux ! Une pour tes dépassements et une autre pour ta nuit blanche. Viens par ici, en face de moi !"Je lui baisse pantalon et culotte. "Vas te mettre au coin, main derrière le dos et tu ne bouges pas. Prends ce temps pour réfléchir à tes bêtises et à ce qu'il va t'arriver dans quelques minutes !"N'osant me contrarier, elle s'y place et ne bouge plus d'un cheveu. Mais je sens bien son appréhension, sa crainte monter encore d'un cran. J'aime autant, je ne souhaite pas la punir encore pour la même chose. En agissant ainsi, j'espère bien lui faire passer le bon message. Cinq minutes plus tard, je lui demande de se pencher sur mes genoux. "Pourquoi tu es dans cette situation, Léa ?- Car j'ai dépassé mon couvre Exactement. Cette fessée sera modérément sévère. J'espère que cela sera suffisant à te faire comprendre que je n'accepte pas ces Oui, Yves."Je commence alors une fessée avec une intensité progressive. Ne connaissant pas bien sa sensibilité, je me montre particulièrement attentif à ses réactions. A un certain stade, je n'augmente plus la force des claques. Et cette fessée aura duré trois minutes. Une éternité déjà pour elle. Je sens qu'elle a eu mal, mais c'est resté supportable. Je la renvoie au coin, je vois aussi par la même occasion ses yeux déjà humides. Cette fessée a porté ses fruits. Mais celle à suivre sera d'un autre niveau. D'ailleurs Léa sait très bien que cette première fessée n'a été qu'un hors d'oeuvre. Elle craint la suite et au bout de cinq minutes je la rappelle sur mes genoux. "Tu sais pourquoi je vais te punir, cette fois ?- Pour ma nuit blanche... Me dit-elle au bord des Oui. Je te l'avais strictement interdit ! Strictement ! Et tu m'as désobéi ! Cette fessée sera donc très intense. Tu vas avoir mal, c'est une punition dont je veux que tu te souviennes. Je veux qu'elle soit à jamais ancrée dans ta mémoire, comprends-tu ?- Oui, Yves. Je comprends."Après lui avoir demandé si elle était prête, j'entame une fessée assez intense dès le départ. Léa comprend très vite que je ne plaisante plus. Ses fesses souffrent. Elles se parent d'un couleur rose tendant vers le rouge au fur et à mesure que les claques tombent sur sa peau douce et tendue par la position. Léa craque et les larmes coulent, mais je ne m'arrête pas pour autant. La punition doit être mémorable. Une cinquantaine de claques plus tard, j'estime que cela suffit. Je l'envoie au coin en la tenant par le bras. A ce moment là, je lui réitère la consigne pas de nuits blanches. Et j'appuie cette consigne par de nombreuses claques sur ses fesses déjà très douloureuses. Elle m'assure qu'elle ne recommencera plus. Je la laisse tranquille au coin pendant une dizaine de minutes. Puis je viens la prendre délicatement dans mes bras pour la réconforter et l'assurer de mon pardon total et entier. Nous nous allongeons sur le lit un moment dans les bras l'un de l'autre. Elle me remercie de l'avoir prise en charge. Un peu plus tard, elle me demandera d'être son tuteur principal. J'accepte, bien entendu, c'est une fille adorable qui mérite pleinement mon aide. Elle n'a pas fait de nuit blanche depuis cette punition, cela fait plusieurs mois, le début d'une magnifique histoire entre deux personnes qui ne fait que Suivre... Leshommes bons, passée la dernière vague, criant combien clairs Leurs actes frêles auraient pu danser en une verte baie Ragent, s’enragent contre la mort de la lumière. - Topic N'entre pas Interstellar.. "N’entre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de Jetrouve pas ça classe du tout ce que tu as mis l'auteur, ça veut rien dire.Je le trouve pas mauvais comme film et original, mais côté scénario j'aurais bien ajusté quelques trucs ; y'a
Ily a toujours des endroits dans votre vie qui font rêver Mais après tout, tout le monde ne peut pas vous voir Pour la première fois dans la mémoire, le lieu lointain et mystérieux Et je suis revenu ici Comme un rêve, mais pas un rêve, oui, une réalité onirique La journée commence
N'entre pas docilement dans cette douce nuit. Le vieil âge doit gronder, tempêter au déclin du jour. Hurler, hurler. à l'agonie de la lumière. Si le sage sentant la fin. sait que les ténèbres sont justes. car ses mots n'ont point forgé de foudre, il n'entre pas docilement dans cette douce nuit. Hurle, hurle, à l'agonie de la Lumière." Lhistoire pour endormir les enfants la plus populaire dans App Store ! Plus de 4 millions de téléchargements. "Bonne Nuit!" est l'application parfaite pour endormir les enfants le soir, avec de jolis animaux, une musique douce pour bercer et une merveilleuse narration. Tout autour de la maison, les lumières s'éteignent, et dans la grange
Lentrée dans la voie unitive par la nuit de l'esprit. D'après ce que nous avons dit plus haut, t. I, p. 31, au sujet de la division de cet ouvrage, pour suivre la doc­trine de saint Jean de la Croix, écho fidèle de la tradition des grands spirituels, nous traiterons de la nuit de l'esprit au début de la voie unitive, car, selon le grand Docteur, elle marque l'entrée dans cette voie
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